Après avoir défendu la liberté d’expression de Raif Badawi contre la peine barbare que lui a infligée l’Arabie saoudite, voilà que le gouvernement du Québec s’apprête à implanter des mesures de censure qui se fondent sur des résolutions pro-censure présentées par l’Arabie saoudite et ses alliés aux Nations Unies.