La reproduction du programme détaillé de l’événement (version du 23 octobre) est archivée à la fin de ce document
L’Université du Québec annonce qu’une composante de son réseau, l’Institut national de la recherche scientifique (INRS), organise un symposium sur l’islamophobie du 29 octobre au 1er novembre 2015. L’événement se déroule au campus de Montréal de l’INRS à l’exception de la conférence d’ouverture qui est présentée à la Faculté d’aménagement de l’Université de Montréal.
Annonce de l’événement (UQ) : http://www.uquebec.ca/reseau/fr/contenu/symposium-international-islamophobie / WebArchive – Archive.Today
Annonce de l’événement (INRS) : http://www.ucs.inrs.ca/evenements/symposium-international-islamophobie / WebArchive – Archive.Today
Programme détaillé de l’événement : http://www.ucs.inrs.ca/sites/default/files/centre_ucs/pdf/Symposium%20Programme%20FINAL%20231015_0.pdf (Le document est également archivé à la fin de cet article.)
Une inscription sous l’hyperlien qu’on retrouve dans le document de l’INRS menant vers le programme indique qu’il s’agit de la version du 23 octobre du programme de l’événement.
Les descriptions des participants qui suivent sont parfois en français, parfois en anglais, en conformité avec le texte original.
Organisateurs du symposium
DENISE HELLY – Professeure, INRS-UCS / Archive.Today
MICHAEL NAFI – Professor, John Abbott College, Department of Humanities, Philosophy, Religion
Conférence : Islamophobie et critique de l’islam: analyse d’une imposture intellectuelle
VALÉRIE AMIRAUX – Professeure, Département de sociologie, Université de Montréal / Archive.Today
PATRICE BRODEUR – Professeur, Chaire du Canada Islam, pluralisme et globalisation, Université de Montréal / Archive.Today
Patrice Brodeur est directeur de la recherche au King Abdullah bin Abdulaziz International Centre for Interreligious and Intercultural Dialogue (KAICIID), un organisme basé à Vienne mais financé par l’Arabie saoudite. KAICIID / WebArchive – Archive.Today
Le dialogue interreligieux est toujours mené par les islamistes avec le but ultérieur de faciliter la pénétration de leur doctrine en territoire non-musulman. Plus tôt cette année, le chancelier autrichien Werner Faymann a dénoncé le KAICIID de Vienne après que cette organisation ait refusé de condamner la peine de 1 000 coups de fouet imposée à Raif Badawi par un tribunal saoudien. Le chancelier avait déclaré à ce moment-là que «ce centre ne se conforme pas à son mandat de dialogue et est muet au sujet de violations fondamentales des droits de l’homme». Des articles du Gatestone Institute et de GMBDW fournissent plus d’informations sur le KAICIID.
En 2011, Patrice Brodeur a été le porte-parole média de la Deuxième conférence sur les religions du monde de Montréal qui adopta une résolution favorable à l’interdiction de la critique des religions (article 12.4).
Intervenants au symposium
JACQUES FRÉMONT – Président, Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse du Québec (CDPDJ)
Conférence : Lutte à l’islamophobie: enjeux et défis pour un Québec pluraliste
Lorsqu’à Radio-Canada, le 2 décembre 2014, Jacques Frémont a expliqué le sens des recommandations de la CDPDJ qui ont mené au projet de loi 59 sur le ‘discours haineux’, il a clairement indiqué qu’il comptait utiliser les nouveaux pouvoirs que demande la Commission qu’il dirige pour poursuivre ceux qui critiquent certaines idées, notamment pour poursuivre «des gens qui écriraient contre […] la religion islamique […] sur un site internet ou sur une page Facebook». Cette demande est absolument incompatible avec le rôle de l’Etat dans une société respectueuse des libertés individuelles. Le rôle de l’Etat c’est de protéger la liberté d’expression des individus, c’est-à-dire la liberté des individus de critiquer des idées et non pas de protéger des idées contre la critique des individus.
A Radio-Canada, M. Frémont a justifié le projet de censure de la CDPDJ en invoquant des résolutions d’instances des Nations unies qui vont dans le sens de la proposition de la CDPDJ. Par contre, il n’a pas indiqué que ces résolutions de l’ONU émanent de l’Organisation de la coopération islamique (OCI) qui établit une équivalence entre le blasphème, la critique de l’islam, la diffamation des religions et le discours haineux.
En novembre 2014, M. Frémont participa à un forum sur les droits de l’homme au Maroc inauguré par le roi qui affirma qu’il n’y a pas de modèle unique en matière de droits de l’homme. C’est au nom de cette ‘diversité’ dans la conception des droits de l’homme que le régime marocain emprisonne ceux qui enfreignent les règles de charia qui s’appliquent au jeûne durant le Ramadan, ceux promeuvent d’autres religions que l’islam, etc. Plutôt que d’appuyer les défenseurs de la liberté d’expression au Maroc, au Canada et ailleurs, la CDPDJ se fait complice de ceux qui appliquent la charia et bafouent les droits individuels.
Par ailleurs, les deux mandats de la CDPDJ, soit l’activisme socio-politique et l’initiation de poursuites judiciaires, sont incompatibles. Il est inconcevable que le devoir de réserve qui s’applique aux procureurs de la Couronne en droit criminel ne s’applique pas à la CDPDJ qui initie des poursuites en droit civil.
La Cour suprême a statué que «la responsabilité du représentant de la justice ne se limite pas à la salle d’audience et elle lie le procureur de la Couronne dans toutes les mesures qu’il prend relativement à l’accusé, avant comme après le dépôt des accusations». Dans l’arrêt Regan (section 156), la Cour Suprême souligne, notamment, que le procureur de la Couronne doit maintenir une «indépendance par rapport à d’autres intérêts qui peuvent avoir une incidence sur la poursuite, y compris ceux de la police et de la défense». En s’associant fréquemment aux activités socio-politiques des islamistes, la CDPDJ et ses représentants dérogent à cette règle essentielle.
Point de Bascule : Fiche Commission des droits de la personne du Québec (CDPDJ)
COREY SAYLOR – Director, Department to Monitor and Combat Islamophobia, Council on American-Islamic Relations (CAIR), Washington, D.C.
Conférence : Effective Approaches to Delegitimizing Islamophobic Groups and Sentiment
Le Council on American-Islamic Relations (CAIR) a été fondé en 1994 par trois leaders de l’Islamic Association of Palestine (IAP), une organisation qui représentait le Hamas aux États-Unis à ce moment-là. L’IAP est l’entité #22 sur une liste d’organisations identifiées dans un mémorandum interne des Frères Musulmans comme appuyant la confrérie aux États-Unis. Ce mémorandum a été produit en preuve lors d’un procès pour terrorisme qui s’est soldé par la condamnation de tous les accusés en 2008.
En 2009, les liens du CAIR avec le Hamas ont été soulignés dans une autre cause américaine quand le juge Solis déclara que «Le gouvernement [américain] a présenté suffisamment de preuves pour démontrer l’association du CAIR, d’ISNA et du NAIT avec HLF, l’Islamic Association of Palestine (‘IAP’) et le Hamas». Peu après, le FBI a pris la décision de mettre un terme à tous ses contacts avec le CAIR.
En plus d’œuvrer à la destruction d’Israël (article 13 de la Charte), les leaders du Hamas ont fréquemment prôné la conquête islamique de l’Occident ces dernières années (2006 – 2008 – 2011 – 2012). En 2011, par exemple, le leader du Hamas, Mahmoud Al-Zahhar, a déclaré à la télévision que la civilisation occidentale «ne sera pas capable de résister au grand et glorieux islam». Le 16 juillet 2013, le Hamas a menacé de lancer des attaques terroristes dans les pays où se trouvent les ambassades d’Israël. Le Canada fait évidemment partie des cibles potentielles.
Dans le mémorandum interne mentionné plus haut, les Frères Musulmans décrivent leur offensive en Amérique du Nord comme «une sorte de grand jihad visant à éliminer, à détruire de l’intérieur la civilisation occidentale et à ‘saboter’ sa misérable demeure […] afin que la religion d’Allah soit victorieuse sur toutes les autres religions».
La collaboration de nos élites académiques avec le CAIR et les Frères Musulmans correspond à ce passage du mémorandum où les leaders de la confrérie indiquent qu’ils entendent canaliser les efforts des non-musulmans pour «détruire de l’intérieur la civilisation occidentale» («destroying the Western civilization from within and ‘sabotaging’ its miserable house by their hands and the hands of the believers»).
IHSAAN GARDEE – Executive Director, National Council of Canadian Muslims, Ottawa
Participant à une table ronde
À sa fondation, le National Council of Canadian Muslims (Conseil national des musulmans canadiens / CNMC en français) s’appelait CAIR-Canada / CAIR-CAN. Dans ses propres documents, CAIR-Canada identifie le CAIR de Washington comme son «organisation-mère» («parent organization») et l’organisation américaine présenta CAIR-CAN comme une de ses filiales au moins jusqu’en 2007. Dans une liste archivée de ses filiales, le CAIR de Washington présenta CAIR-Canada entre CAIR-Ohio et CAIR-Central Pennsylvania. Pourquoi Canada entre Ohio et Pennsylvanie? Parce que CAIR-Canada s’est appelé CAIR-Ottawa avant de devenir CAIR-Canada et qu’on se contenta de changer le nom de la filiale canadienne sans changer sa position dans la liste alphabétique des filiales sur le site internet du CAIR de Washington.
Après que les liens du CAIR avec le Hamas aient été soulevés devant les tribunaux américains en 2007-2008, les responsables de la filiale canadienne ont commencé à présenter une version modifiée des origines de CAIR-CAN. En 2013, ils ont complété leur réécriture de l’histoire en changeant le nom de l’organisation. Interviewé à ce sujet par Evan Solomon de CBC en 2014, Ihsaan Gardee a déclaré que son organisation n’avait jamais eu de liens financiers ou opérationnels avec le siège social de CAIR à Washington («We’ve never had any funding relationship with them, never any operational relationship with them»).
En 2003, à l’occasion d’une poursuite relative à l’utilisation de l’acronyme CAIR au Canada, la présidente de CAIR-Canada à l’époque, Sheema Khan, avait cependant reconnu dans une déclaration assermentée que le CAIR de Washington «a un contrôle direct» («has direct control» / section 8) sur les activités de CAIR-Canada. Au surplus, en 2000, pendant qu’elle dirigeait la filiale canadienne du CAIR, Sheema Khan a été nommée membre du conseil de direction du CAIR à Washington.
Le 29 septembre 2014, au nom du CNMC / CAIR-Canada, Ihsaan Gardee a rendu publique à Winnipeg une brochure intitulée Unis contre le terrorisme (United against terrorism). La brochure vante le caractère ‘noble’ du jihad (pp. 17 et 34) et présente treize exégètes musulmans que le CNMC / CAIR-CAN consulte pour leur «bonne compréhension de la vie et de l’islam en Amérique du Nord». Parmi les exégètes endossés, on retrouve Jamal Badawi et Siraj Wahhaj. Le premier a déclaré que les musulmans devraient devenir juges en Amérique du Nord et tirer avantage de leur position d’influence afin de cesser d’appliquer les dispositions légales actuelles qui sont incompatibles avec la charia et il a soutenu que lui et ses supporteurs travaillent à l’instauration d’un califat, un état islamique au Canada : «There will be the re-establishment of Rightly-Guided Caliphate following the prophetic path. That’s where we are going.» Quant à Siraj Wahhaj, il a déjà encouragé les musulmans de sa mosquée de Brooklyn à convertir à l’islam les jeunes qui se sentent exclus et éventuellement à les armer de fusils mitrailleurs Uzi afin qu’ils mènent le jihad dans les rues américaines.
Ceux qui consulteront la brochure du CNMC / CAIR-CAN constateront qu’elle contient le logo de la GRC sur la page couverture. Pendant plusieurs mois, la GRC a effectivement collaboré avec les islamistes responsables de la production de cette brochure mais elle s’en est finalement distancée peu de temps avant son dévoilement public. À l’époque, la GRC avait émis un communiqué pour expliquer sa position. Point de Bascule a publié des articles sur la question (1 octobre 2014 – 10 novembre 2014).
Point de Bascule : Fiche Conseil national des musulmans canadiens / CAIR-CAN
NATHAN LEAN – Director, Project Bridge, Prince Al-Waleed Bin Talal Center for Muslim Christian Understanding, Georgetown University
Conférence : Manufacturing Islamophobia
Le Centre Bin Talal de l’Université Georgetown a été fondé en 1993 et rebaptisé en l’honneur du prince saoudien après qu’il lui eût donné 20 millions $ en 2005. Il est dirigé par John Esposito, un défenseur des Frères Musulmans qui participe fréquemment aux activités organisées par la confrérie en Amérique du Nord.
Le site Investigative Project on Terrorism a déjà fait ressortir qu’Esposito et d’autres intellectuels subventionnés par les islamistes «travaillent à promouvoir un faux concept de fondamentalisme islamique modéré en répétant les prises de position publiques d’islamistes futés plutôt que de chercher à examiner le matériel distribué par ces leaders à leurs propres militants, ce qui est la véritable façon de déterminer les intentions qui les animent.»
SAMER MAJZOUB – Président, Forum musulman canadien
SAMAH JEBBARI – Porte-parole, Forum musulman canadien
Participants à une table ronde
Le Forum musulman canadien (FMC) est une partie intégrante de l’infrastructure des Frères Musulmans au Québec. Depuis 2001, son président, Samer Majzoub, s’est présenté successivement et parfois simultanément comme porte-parole du FMC et de la Muslim Association of Canada (MAC). Sur son propre site internet, la MAC a déclaré que ses origines «remontent à la renaissance islamique du début du XXe siècle, culminant avec le mouvement des Frères Musulmans [et qu’elle] fait tous les efforts pour appliquer l’islam […] tel qu’il a été compris dans le contexte contemporain par le regretté imam Hassan al-Banna, le fondateur des Frères Musulmans.».
Point de Bascule (3 mars 2015) : Le Forum musulman canadien nie ses liens avec la MAC et les Frères Musulmans au moment où il demande à joindre la table de discussion gouvernementale sur le radicalisme
SALAM ELMENYAWI – Président, Conseil musulman de Montréal / Montreal Muslim Council
Participant à une table ronde
Sur sa page Facebook, le Conseil musulman de Montréal (CMM) déclare représenter plus de 70 institutions islamiques dans la région de Montréal. Son leader, Salam Elmenyawi, est l’aumônier des universités McGill et Concordia. À au moins deux reprises dans le passé, Salam Elmenyawi a reconnu l’autorité du guide spirituel des Frères Musulmans, Youssef Qaradawi. En décembre 2004, il a déclaré au journal Le Devoir / Archive.Today que le Conseil de la charia qu’il travaillait à établir comptait consulter Qaradawi (al Kardaoui) dans le futur pour trancher des questions de jurisprudence islamique. En septembre 2004, Elmenyawi a référé à une fatwa de Qaradawi pour indiquer que l’argent de la zakat (charité islamique) pouvait être dépensé pour payer ceux qui travaillent dans les médias à promouvoir l’islam.
Dans le passé, Qaradawi a également justifié les mutilations génitales féminines, encouragé le meurtre des homosexuels, la formation de «ghettos musulmans» aux États-Unis, au Canada, en Australie et ailleurs en Occident, promu la conquête de l’Occident par les musulmans, soutenu que Hitler avait été envoyé par Allah pour punir les juifs, etc.
Qaradawi a également endossé la règle de charia qui prévoit que ceux qui abandonnent l’islam sont passibles de mort. Dans un exposé à la télévision arabe (article – vidéo), Qaradawi a même reconnu que «s’ils [les musulmans] avaient cessé d’appliquer les châtiments pour apostasie, l’islam n’existerait plus aujourd’hui». En janvier 2015, au nom d’une association d’exégètes musulmans qu’il dirige, Qaradawi a également demandé aux Nations unies d’interdire ce qu’il appelle la ‘diffamation des religions’. Yahoo.com / WebArchive – Archive.Today
Point de Bascule (11 août 2015) : Le gouvernement du Québec invite le Conseil musulman de Montréal aux consultations sur #PL59. En 2003 dans La Presse, son leader Salam Elmenyawi avait justifié que Salman Rushdie soit tué ‘pour avoir insulté le Prophète’.
AZEDINE HMIMSSA – Doctorant, Sciences des religions, Université de Montréal. Président, Bel Agir
ATIF TAOUSSI – Responsable, Relations publiques, Bel Agir
Participants à une table ronde
Bel-Agir est rattaché au mouvement islamiste marocain Al Adl Wal Ihsane (Al Adl = Justice / Al Ihsane = Bel-Agir, Bienfaisance). Sur son site internet, Bel-Agir présente le fondateur de l’organisation marocaine, Abdessalam Yassine, comme son «guide spirituel, connu pour sa sagesse, et ses enseignement bénéfiques».
L’organisation Al Adl Wal Ihsane a été fondée par Abdessalam Yassine en 1973. Aujourd’hui, c’est sa fille Nadia qui en est une des principales porte-parole.
En 2006, Nadia Yassine avait salué la victoire du Hamas en affirmant qu’elle «va donner un nouveau souffle et aura, pour les peuples musulmans, à peu près le même effet que la révolution en Iran».
Au Maroc, les Frères Musulmans sont regroupés au sein d’une organisation distincte du mouvement Al Adl Wal Ihsane de Yassine, soit le Parti de la justice et du développement (PJD). L’organisation de Yassine et le PJD s’entendent cependant sur un objectif commun, soit celui d’instaurer une république islamique basée sur la charia. Leurs divergences portent sur les tactiques à utiliser pour y arriver.
Point de Bascule (23 avril 2012) : Al-Ihsane (Bel-Agir) – L’autre organisation derrière le projet de mosquée dans le quartier Saint-Sauveur de Québec
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HUSSEIN ALI AGRAMA – Professor, Department of Anthropology, University of Chicago
Conférence : Muslims and Modern-Day Blasphemy in the Liberal Democratic State
SAMAR BEN ROMDHANE – Doctorante, Communication publique, Département d’information et de communication, Université Laval
Conférence : Discours médiatique et pluralisme religieux: registre polémique et violence verbale
ROBERT BERNASCONI – Professor, Department of Philosophy, Penn State University
Conférence : Islamophobia and Racism
HAROUN BOUAZZI – Co-Président, Association des Musulmans et des Arabes pour la Laïcité au Québec
Participant à une table ronde
ANITA BROMBERG – Directrice générale, Fondation canadienne des relations raciales
Participante à une table ronde
ADIL CHARKAOUI – Président-coordinateur, Collectif québécois contre l’islamophobie
BOUAZZA MACHE – Directeur de recherche, Collectif québécois contre l’islamophobie
Participants à une table ronde
ROKHAYA DIALLO – Journaliste, auteure et réalisatrice
Conférence : Islamophobie en France, déni institutionnel et activisme associatif
LAMINE FOURA – Secrétaire général, Congrès Maghrébin au Québec
Participant à une table ronde
ÉLISABETH GARANT – Directrice générale, Centre Justice et Foi et revue Relations
Participante à une table ronde
HOUCHANG HASSAN-YARI – Professor, Department of Political Science, Royal Military College of Canada, Kingston
Conférence : La République islamique d’Iran : errance entre islamisme et nationalisme
SAMIRA LAOUNI – Présidente fondatrice, Centre Communication, Ouverture et Rapprochement Interculturel
Participante à une table ronde
JOSEPH MASSAD – Professor, Modern Arab Politics and Intellectual History, Department of Middle Eastern, South Asian, and African Studies, Columbia University, New York
Conférence : Islam in Liberalism
FARIDA MOHAMED – Présidente, Canadian Council of Muslim Women, Montreal Chapter
Participante à une table ronde
MARWAN MUHAMMAD – Conseiller, Lutte contre le racisme et l’intolérance, Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe, Varsovie, Pologne
Conférence : Les mobilisations de la société civile contre l’islamophobie en Europe
FO NIEMI – Directeur, Centre de Recherche Action sur les relations raciales
Participant à une table ronde
STÉPHANE PRESSAULT – Coordonnateur national, Canadian Council of Muslim Women, Project Communitas
Participant à une table ronde
ARMANDO SALVATORE – Professor, Global Religious Studies, Faculty of Religious Studies, McGill University, Montreal
Conférence : The Islamic Public Sphere: Issues and Challenges
WAEL SALEH – Doctorant, Sciences humaines appliquées, Université de Montréal et Institut de Science politique, Université Lyon 2
Conférence : Le politique et le religieux en Égypte après 2011: des débats méconnus
MICHAËL SEGUIN – Doctorant, Sociologie, Université de Montréal
Conférence : La Palestine et Israël dans la presse québécoise: le cas de l’opération Bordure protectrice
SAHER SELOD – Professor, Sociology, Simmons College of Arts, Massachusetts
Conférence : Forever Suspect: Racialized Surveillance in the War on Terror
LUCAS SWAINE – Professor, Department of Government, Dartmouth College, New Hampshire
Conférence : Political Liberalism and the Inclusion of Islam
DANIEL WEINSTOCK – Professor, Faculty of Law, McGill University, Montreal
Conférence : Can Liberalism Take Religion Seriously? If So How?
MOHAMED YACOUB – Membre du Conseil de direction, Centre communautaire musulman de la Rive Sud, Brossard
HANADI SAAD – Présidente et administratrice, Justice Femmes, Centre communautaire musulman de la Rive Sud, Brossard
Participants à une table ronde
MARIE-JOËLLE ZAHAR – Professeure, Département de Science politique, Université de Montréal. Directrice scientifique, Réseau de recherche sur les opérations de paix, Centre d’études et de recherches internationales, Université de Montréal
Conférence : Le Canada et le monde arabe depuis 2011
Soutien financier au symposium
CONSEIL DE LA RECHERCHE EN SCIENCES HUMAINES DU CANADA
INSTITUT NATIONAL DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE
CENTRE D’ÉTUDES ET DE RECHERCHES INTERNATIONALES DE L’UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL
CHAIRE HANS & TAMAR OPPENHEIMER DE L’UNIVERSITÉ MCGILL
CHAIRE DE RECHERCHE EN ÉTUDE DU PLURALISME RELIGIEUX DE L’UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL
FONDATION CANADIENNE DES RELATIONS RACIALES
Assistance pour la réalisation du symposium
JONATHAN DUBÉ – INRS
DAISY BOUSTANY – Espace Nodal
COLINE SÉNAC – INRS
JULIE DUFORT – UQAM
FRÉDÉRICK NADEAU – INRS
LESLIE TOURÉ KAPO – INRS
MEHDI BENMOUSSA – John Abbott College
ELHAM SHAHSAVARZADE – Université de Montréal
BOCHRA MANAI – INRS
KALED KAMEL – INRS
Programme du symposium (version du 23 octobre 2015)
Il s’agit de la version du 23 octobre 2015 du programme de l’événement selon une annonce de l’INRS / Archive.Today.