La viligance des citoyens et des médias, ça rapporte! Un haut fonctionnaire du Pentagone s’est avéré être lié à des radicaux musulmans voués à la destruction des États-Unis de l’intérieur. Le cheval de Troie est congédié.
Traduction de l’article Embattled Muslim aide to leave Pentagon job -Hesham Islam’s ‘resume didn’t add up,’ official says, WorldNetDaily, le 11 février 2008
Dans une étonnante tournure des événements, un aide militaire musulman de haut niveau blâmé pour avoir été à l’origine du licenciement d’un contractuel des services de l’intelligence, quittera lui-même son poste au Pentagone, a appris WND.
Pendant ce temps, son rival, le Major Stephen Coughlin, une autorité sur la doctrine de la guerre islamique, peut rester au Pentagone, étant promu d’une fonction au bureau du président du Joint Chiefs of Staff à un poste au bureau du Secrétaire à la défense. Des sources disent cependant qu’un ancien ambassadeur des États-Unis en Turquie essaie de bloquer son nouveau contrat.
L’aide haut placé du Pentagone, Hesham H. Islam, d’origine égyptienne, s’est retrouvé sous un nuage de suspicion après que des rapports ont soulevé des doutes sur son curriculum vitæ et les contacts qu’il avait pris avec des musulmans radicaux. Il est prévu qu’il quitte le gouvernement le mois prochain, disent des fonctionnaires.
Islam et Coughlin se sont récemment querellés à propos des exposés présentés par Coughlin montrant un lien étroit entre la religion de l’islam et le terrorisme. Le contrat de Coughlin avec le Joint Chiefs, qui se termine en mars, n’a pas été renouvelé.
Mais à la suite de la colère qui s’est emparée de la presse conservatrice – menée par le reporter Gill Gertz du Washington Times au Pentagone – Islam a été placé sous un microscope, et des questions ont été soulevées au sujet de ses antécédents.
Par exemple, Claudia Rosett de la Foundation for Defense of Democracies a écrit une chronique mettant en doute des revendications clés de la biographie officielle de Islam. Dans les jours suivants, un profil d’Islam par le département de la Défense a été retiré du site Internet du département.
Un porte-parole du Pentagone a déclaré qu’il avait été «retiré dans l’espoir de réduire la rhétorique et l’émotion qui entourent cette question pendant que nous essayons de déterminer les faits».
Un haut responsable américain affirme que la biographie qu’Islam a présentée apparaît maintenant sommaire.
«Son curriculum vitae ne tient pas la route, et il le sait», a dit le fonctionnaire. «Il va quitter le gouvernement volontairement au mois de mars».
Dans le même temps, un rapport de l’expert du terrorisme Steven Emerson a révélé que Islam, comme assistant spécial du secrétaire adjoint de la défense, a prévu au moins deux réunions au Pentagone avec des radicaux liés à la Syrie – dont l’un des principaux membres des Frères Musulmans de Syrie – en violation directe de la politique américaine.
Comme WND l’a précédemment rapporté, les responsables du FBI croient que Islam est impliqué dans la section américaine des Frères Musulmans et aide des groupes de façade à mener des «opérations d’influence» contre le gouvernement américain.
«C’est un Frère Musulman», a dit un agent du FBI à WND. «C’est un mauvais acteur, et il a fait d’autres contacts abjects non rapportés».
Islam a travaillé en étroite collaboration au Pentagone avec l’aumônier musulman Abuhena M. Saifulislam qui, comme WND l’a également rapporté précédemment, a reçu sa formation dans une école islamique radicale dans le Nord de la Virginie qui a été prise d’assaut par les autorités fédérales après le 11/9.
Islam, dont le fils est actif au sein de l’armée, a obtenu l’une des autorisations les plus élevées de sécurité pour accéder à de l’information classifiée. Des sources confirment qu’il a assisté à des réunions où les autorisations des services d’intelligence étaient limitées au niveau Top Secret / SCI (Sensitive Compartmented Information).
Le Pentagone n’avait pas de commentaires. Et Islam, qui n’a été accusé d’aucun crime, a refusé les interviews.
Emerson a dit qu’Islam prescrivait une diète régulière de contacts avec des groupes liés aux Frères musulmans pour son patron, le vice-Secrétaire à la défense Gordon England.
Par exemple, England a pris la parole à la convention de 2006 de la Islamic Society of North America, et l’année dernière, il a même organisé un déjeuner avec des officiels de l’ISNA au Pentagone. À l’époque, des procureurs fédéraux avaient lié ISNA à une conspiration des Frères musulmans aux États-Unis et ont nommé le groupe comme «co-conspirateur non accusé» dans une importante affaire de financement du terrorisme.
Dans un exposé de renseignement, Coughlin avait fait valoir que le Pentagone devrait mettre fin à ses programmes de rapprochement communautaire avec l’ISNA, ce qui l’a mis en conflit avec Islam.
Des initiés du Pentagone disent que Eric S. Edelman, sous-secrétaire à la Défense en matière de politiques, a tenté de mettre fin à l’attribution d’un nouveau contrat à Coughlin. Edelman a servi comme ambassadeur en Turquie de 2003 à 2005.
La représentante Sue Myrick, R-N.C., qui co-préside le Caucus antiterroriste de la Chambre des représentants, a lutté pour garder Coughlin au Pentagone où, dit-elle, son analyse franche de l’ennemi islamique est grandement nécessaire.
Citant des documents présentés devant une cour fédérale comme éléments de preuve dans une importante affaire récente de terrorisme, elle met également en garde que des groupes de façade américains agissant pour les Frères musulmans conspirent pour détruire l’Amérique de l’intérieur.
«Nos ennemis ont clairement indiqué leur intention de nous infiltrer, un peu comme les Russes l’ont fait pendant la guerre froide», dit Myrick. «Nous n’avions alors eu aucun problème à analyser et agir en fonction de cette information.»
«Je sais que certaines personnes refusent d’admettre qu’il y a un mouvement subversif qui se passe ici, mais permettez-moi de vous rappeler que nous avons sous-estimé la volonté et la capacité de notre ennemi depuis plus de 30 ans», a-t-elle ajouté. «Ils sont patients et déterminés à parvenir à leurs fins radicales».
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