Toutes les excuses sont bonnes pour justifier Rageboy:
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En Australie du Sud, un réfugié iranien a aspergé un homme d’essence et a tenté de l’immoler. Il se sentait persécuté en raison de sa religion après les attentats du 11 septembre, ce qui l’a rendu héroïnomane. Un juge l’a compris et lui a épargné la prison. C’est l’accusé la vraie victime.
Un homme congédié s’enflamme, par Tim Blair, Telegraph
Le racisme cause l’héroïnomanie en Australie du Sud:
Un réfugié iranien a tenté d’immoler un homme de Norwood en raison d’une dépression liée au racisme après le 11 septembre.
Le mois dernier, Kayvan Zarei, 30 ans, de Marden, a été déclaré coupable par la Cour de district de voies de fait et d’avoir mis la vie en danger. Il a tenté de donner un coup de poing à une femme et d’immoler un témoin à l’extérieur du bureau de Norwood Centrelink en 2006.
La cour a entendu le plaidoyer de Zarei, un Iranien qui a émigré en Australie avec sa famille en 1999 et développé une dépression et une dépendance à l’héroïne après le backlash contre les musulmans à la suite des attaques du 11 septembre 2001 .
Un juge compréhensif a refusé de le condamner à la prison:
«Le crime a été commis dans des circonstances où vous aviez perdu votre emploi », a-t-il dit.
« Vous étiez atteint de psychose liée au sevrage de drogue, vous aviez de la difficulté à faire face au stress de la vie et vous avez réagi de manière erratique, inappropriée et, pour le moins, bizarre. »
Voir aussi:
Il n’y a pas d’islamophobie en Australie, par Paul Sheehan