Comme si la Grande-Bretagne n’avait pas d’autres chats à fouetter. À chaque année dans ce pays, 20 000 fillettes sont excisées… mais c’est au racisme des bambins qu’on consacre un Guide de 366 pages! qui sera certainement suivi de multiples rapports d’étape faisant état des progrès dans le reformatage des bébés…. occupant l’industrie des gurus du multiculturalisme et des experts de l’anti-racisme (à sens unique évidemment) pendant des siècles et des siècles, aux frais des payeurs de taxes!
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Les bambins qui n’aiment pas la nourriture épicée sont «racistes»
Les bambins qui lèvent le nez sur la nourriture étrangère épicée pourraient être traités de racistes par une agence du gouvernement.
Le National Children’s Bureau (NCB), qui reçoit 12 millions de £ par an, principalement d’organismes financés par le gouvernement, a publié des directives à l’intention des éducateurs de garderies, les avisant de faire preuve de vigilance face à des incidents à caractère raciste chez les bambins sous leurs soins.
Il pourrait s’agir d’un enfant aussi jeune que trois ans qui réagit négativement en disant «yuk» lorsqu’on lui sert des aliments d’une tradition culinaire avec laquelle il n’est pas familier.
Les directives du NCB visent à attirer l’attention sur des attitudes potentiellement racistes chez les tout-petits. On alerte les éducateurs que les bébés doivent aussi être visés par les efforts pour éliminer les préjugés, car ils peuvent «reconnaître différentes personnes dans leur vie».
(…)
Les instructions au personnel précisent qu’aucun incident raciste ne doit être ignoré. «Lorsqu’il y a un incident clairement raciste, il est nécessaire de condamner l’action de manière spécifique».
Avertissant que le défaut de reprendre les bambins sur leurs attitudes racistes pourrait leur inculquer des préjugés, le NCB ajoute que si les enfants «révèlent des attitudes négatives, l’absence de réprimande pourrait leur signaler qu’il n’y a rien de repréhensible dans de telles attitudes».
Les garderies sont encouragées à signaler autant d’incidents que possible à leur conseil local. Le guide ajoute: «Certains pensent que si un grand nombre d’incidents à caractère raciste sont signalés, cela donnera une mauvaise réputation à l’établissement. En fait, c’est le contraire qui est le cas».
Voir aussi:
Suède – Bien-pensance extrême des autorités scolaires
Grande-Bretagne – Un trisomique à l’âge mental de 5 ans inculpé pour racisme
Grande-Bretagne – Accommodement religieux des exigences racistes d’un prisonnier musulman
Rapport Bouchard-Taylor : fabriquer l’Homme Nouveau par la dictature de l’harmonie
