La justice d’allah, 100% conforme au coran. Ce divertissement sera bientôt offert à Piccadilly Circus, Londres…
Amalgamer islam et violation des droits humains constitue une diffamation de l’islam, selon la résolution du Conseil des droits de l’homme de l’ONU contre la «diffamation des religions». Il y a eu une inversion à l’ONU. Cette organisation ne protège plus les victimes d’atrocités, mais la «dignité» de la religion qui prescrit des châtiments cruels, barbares et inhumains. L’ONU est une imposture.
BBC: La justice islamiste en Somalie
Dans les rues poussiéreuses de Kismayo en Somalie, un véhicule avec des haut-parleurs a convoqué les résidents à une nouvelle forme de «divertissement» au début de ce mois.
Les gens étaient invités à voir un homme se faire amputer la main dans un parc public de la ville.
Le jeune homme, Mohamed Ismail Omar, avait été reconnu coupable d’avoir volé des biens dans une maison.
Cet après-midi-là, des centaines de personnes ont afflué vers le Freedom Park pour assister à l’amputation.
Après une longue attente, M. Ismail a été amené devant les spectateurs et un officiel a fait la lecture de la décision du tribunal consignée sur un bout de papier.
Vol de vêtements
« Le tribunal de la charia du district de Kismayo confirme que Mohamed Ismail Omar a été reconnu coupable de vol », a annoncé l’officiel.
« M. Ismail a volé 10 paires de pantalons, 10 chemises, huit autres items et un sac, le tout pour une valeur estimée à 90$. »
L’officiel a cité un chapitre du Coran connu comme la Sourate Maida, verset 38, qui décrit les peines en cas de vol.
Il a dit que le verset décrète qu’en cas de vol, la main droite du voleur doit être coupée.
Un journaliste local qui a été témoin des événements a vu M. Islamil, bouleversé, être emmené dans le parc.
Sa main droite a été tenue en l’air devant la foule.
Elle a ensuite été posée sur une table et immédiatement amputée au niveau du poignet, sans plus de cérémonie.
La main sanglante est exhibée
Le témoin a été horrifié à la vue de la main sanglante tenue par l’index qui a été exhibée devant la foule pour démontrer que la peine avait été exécutée.
M. Ismail récupère de ses blessures à l’hôpital général de Kismayo, où il est gardé par la milice islamiste qui a exécuté la peine.
Ils ne lui permettent pas de parler aux médias.
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