«Les islamistes souffrent d’une schizophrénie caractérisée : ambivalence à l’égard de l’occident – une relation amour-haine où la haine est verbalisée et l’amour refoulé – et un repli anormal sur soi accompagné d’une perte de contact avec les valeurs de son temps.» – Helios d’Alexandrie
Les islamistes fanatiques se divisent en deux catégories, ceux qui sont doucereusement verbomoteurs, ils constituent la majorité, quant aux autres, moins nombreux, ils sont littéralement explosifs.
Les deux catégories méritent d’être éconduites sans ambages. Les premiers nous condamnent (avec douceur et force citations coraniques), et les seconds exécutent sans état d’âme.
Mais, quoique bien pourvus en argent et en moyens techniques, ils n’en souffrent pas moins d’une schizophrénie caractérisée: l’ambivalence à l’égard de l’occident, une relation amour-haine où la haine est verbalisée et l’amour refoulé d’une part, et, d’autre part, l’autisme qui est un repli anormal sur soi accompagné d’une perte de contact avec les valeurs de son temps.
Le traitement des psychoses collectives n’est pas de notre ressort surtout quand il s’agit de psychoses bien organisées. Néanmoins il est bon d’en connaître les ressorts, cela aide à se prémunir contre leurs effets.
Pourquoi la schizophrénie? La réponse est simple, cette maladie se manifeste souvent chez les personnes confrontées à des désirs irréconciliables. Les islamistes sont FASCINÉS par la civilisation occidentale, c’est l’objet de leur désir; comme Tartuffe il ne peuvent s’empêcher de dire « couvrez ce sein que je ne puis voir… » Leur rage est décuplée de la conscience qu’ils ont de leur désir, c’est pourquoi il est soigneusement refoulé.
On lui permet cependant de s’exprimer dans certaines limites permises, et c’est pourquoi ils se lancent à corps perdu dans certains domaines techniques, tel l’informatique dont la maîtrise leur permet de s’approprier fantasmatiquement notre civilisation. Mais les islamistes savent confusément que la technique ce n’est pas la civilisation et que celle-ci tient davantage à l’esprit qui en est la source. Or ils rejettent avec horreur cet esprit et cette manière d’être auxquels ils sont confrontés à chaque instant, d’où la nécessité de dresser des barrières, les plus étanches possibles, pour s’en protéger. L’exemple le plus voyant étant le voile, sensé protéger physiquement et psychologiquement LES HOMMES dont l’honneur (le droit d’exister et d’être reconnus) est organiquement lié aux femmes perçues comme objets sexuels dotés de désirs et d’élans insécurisants et difficiles à prévoir.
À la base on retrouve aussi un ÉNORME COMPLEXE D’INFÉRIORITÉ et UNE ENVIE PATHOLOGIQUE. Le complexe d’infériorité fait appel à des mécanismes de compensation; les islamistes se disent « nous sommes arriérés soit, mais nous avons l’islam qui est supérieur à toutes les autres religions », d’où le slogan des politiciens islamistes « l’islam est la solution », entendre par là l’islam est la solution à nos sentiments d’infériorité. L’envie (assaisonnée de haine), qui est le pendant du sentiment d’impuissance, est un moteur tournant à vide. Il finit par caler ou exploser, deux réactions typiques du monde musulman.
Les vrais malades sont ceux qui tiennent absolument à leur maladie. Face à la civilisation occidentale, les islamistes savent dans leur for intérieur qu’ils ne peuvent, à cause de leur handicap, relever le défi. Le monde musulman n’est pas prêt à franchir les étapes de l’humanisme et des lumières. Ce n’est pas que l’occasion ne se soit pas présentée, c’est davantage le fait que, pour franchir ces étapes, une partie de la révélation doit être mise entre parenthèses. Situation particulièrement dramatique pour une tranche grandissante de l’humanité, car mettre la révélation au rencart, même en partie, c’est renier pratiquement l’islam, et ne pas le faire c’est se mettre en marge et même en dehors de la civilisation en tant que mouvement irréversible et irrésistible.
J’en veux pour preuve le refus des islamistes de répondre aux questions concernant le « crime d’association » (associer à Dieu d’autres dieux tels que le Fils et le Saint-Esprit), autrement dit ce qui fait qu’un chrétien est criminel non pour ce qu’il fait mais pour ce qu’il est. S’ils acceptent le verdict du coran qui stipule que « l’association est un crime plus grave que le meurtre », et en assument les implications logiques, il se retrouvent en position de guerre ouverte contre la société qui les accueille et avec laquelle ils interagissent. Quand à quitter cette société, c’est loin d’être pour eux une option, ils y restent parce qu’ils y sont bien. D’autre part, admettre que les chrétiens, les bouddhistes ou les athées ne sont pas des criminels, c’est se dissocier de la parole d’Allah ou reconnaître qu’Allah s’est trompé, ce qui est impensable. Ils se retrouvent donc dans une situation d’impasse mentale, le refus de répondre et la fuite deviennent dans ce cas les seules échappatoires au dilemme.
Reste aussi la dissimulation et le prosélytisme à outrance, soit l’instrumentalisation de la mauvaise foi laquelle est autorisée par la religion à l’égard des infidèles, mais, du moment où celle-ci est dévoilée et dénoncée, elle devient une arme à double tranchant. Autres calamités: les problèmes psychologiques et psychiatriques affectant les islamistes, particulièrement ceux qui vivent en occident et dont la cause remonte à cette impossibilité d’être à la fois en état de régression et de son temps.
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