par Didier Meyer, Medias Libres
Un article du Figaro daté d’hier de par son titre n’y va pas par quatre chemins.
«La France ne sera plus épargnée» La «veuve noire» d’al-Qaida menace la France. Dans une interview au Parisien/Aujourd’hui en France, Fatiha Mejjati, veuve d’un haut responsable de l’organisation, Karim Mejjati, avertit que «le sanctuaire français n’existe plus» et prévient que «la France sera punie» pour «son allégeance à l’Amérique». La politique étrangère de la France s’aligne sur celle des Etats-Unis. La France ne sera donc plus épargnée», elle est même une «cible prioritaire», assène-t-elle.
Il devient de moins en moins facile de défendre sans cesse une religion qui menace, sème la mort et la désolation partout sur son passage, depuis des siècles, en affirmant que les auteurs de tels actes ne suivent pas les préceptes du Coran. C’est un mensonge éhonté, car seuls des imbéciles représentatifs d’une intelligentsia masochiste et aveugle peuvent encore considérer le Coran comme un livre d’amour et de paix. Si l’on s’en tient aux ordres d’Allah, compilés dans le Coran d’après les paroles de Mahomet, les vrais musulmans, ceux qui suivent les préceptes, sont justement ceux qui tuent des «infidèles» au nom de cette religion sanglante.
Alors de grâce que politiques et medias cessent de nous faire croire tout et n’importe quoi, et tenons-nous en aux faits : depuis plus d’un millénaire l’islam tue, partout où il est présent et où il veut s’implanter, dans des conditions de barbaries qui n’ont pas changées depuis son origine. La quasi totalité des conflits actuels se superposent aux zones de développement de l’islam, il n’existe pas une seule démocratie islamique. La tolérance, le respect de l’autre de sa religion, l’égalité des sexes ne signifient plus rien en terre d’islam.
L’islam tue, chaque jour, partout dans le monde. Combien de morts faudra t-il encore pour que les gouvernements occidentaux en prennent conscience ? Pendant combien de temps encore ces mêmes gouvernements, nos chers journalistes, nos « intellectuels », nos « artistes » se laisseront-ils duper par ce double langage institué en technique de combat par l’islam ?
Et après ces constats, il faudrait encore que soient considérés ceux qui dénonçent cette situation, comme des islamophobes intolérants.