Enseignements propagés sur Internet par l’imam Abou Hammaad Sulaiman Al-Hayiti de Montréal, et exposés dans son livre: L’Islam ou l’Intégrisme ? À la lumière du Qor’an et de la Sounnah:
…celui qui juge par autre que la Shari’ah, et 1. – qui croit
que cela est permis, ou 2. – qui croit que la loi qui est
contraire à la Shari’ah est égale 3. – ou supérieure à la
Loi d’Allah, 4 – ou que la Shari’ah est incompatible avec
la modernité et inapplicable au 20ième siècle, les savants
sont tous d’accord pour dire que celui-là est un mécréant
qui a quitté la foi Islamique.
(Al-Koufr Al-I’tiqaadi Al-Akbar).
à Allah et à Son messager. Donc, si leur ordre (celui
des dirigeants) est contraire à l’obéissance à Allah et
à son messager, nous ne devons pas leur obéir dans
ce qui contredit l’obéissance à Allah et à Son message
r !Glané sur Bivouac-ID
Traduction d’extraits d’un article de Robert Spencer.
![](resizer.php?imgfile=img/jpg/imam_phoenix.jpg&max_width=476)
«Un musulman doit faire de son mieux pour respecter les
lois de la charia [loi islamique] chaque fois que possible,
autant qu’il le peut. Il ne devrait pas se laisser assujettir à
ces lois occidentales qui contredisent les lois islamiques qui
sont claires et tranchées».
L’orateur qui tient ces propos n’est pas un fanatique wahhabite en Arabie saoudite, c’est Omar Shahin, un imam de Phoenix en Arizona, président des imams de la Fondation des Imams d’Amérique du Nord. C’est probablement une des raisons pour lesquelles, le FBI vient de renforcer la surveillance de Shahin et d’autres dirigeants musulmans à Phoenix comme l’a indiqué lundi le journal Arizona Republic.
Pour rappel, les lois de la charia, incluent notamment la lapidation pour adultère, l’amputation de la main pour vol, et la discrimination institutionnalisée contre les femmes et les non-musulmans.
![](resizer.php?imgfile=img/jpg/flying-imams.jpg&max_width=476)
Le nom d’Omar Shahin a déjà été dans l’actualité auparavant. Il était le porte-parole du groupe des six imams (photo ci-contre) qui ont attaqué en justice la compagnie aérienne US Airways après avoir été débarqués d’un avion en 2006, parce que des passagers et des membres d’équipage avaient jugé leur comportement étrange comme suspect. Les imams avaient été menottés et, plus tard, interrogés, puis relâchés sans charges retenues contre eux. Shahin avait ensuite organisé une conférence de presse pour dénoncer les préjugés contre les musulmans. Les six imams ont par la suite poursuivi la compagnie aérienne, la police de l’aéroport et un agent du FBI, affirmant qu’ils avaient été victimes de discrimination uniquement parce qu’ils étaient musulmans.
“Nous n’avons rien fait “, avait soutenu Shahin dans un article sur le Boston Herald.com – et l’organisation CAIR avait saisi l’incident comme une preuve de l”islamophobie” américaine. “Nous sommes préoccupés par le fait que les membres de l’équipage, les passagers et le personnel de sécurité aient pu succomber à la peur et les préjugés fondés sur des stéréotypes sur les musulmans et sur l’islam” a déclaré le directeur exécutif de CAIR, Nihad Awad, dans le même article.
Les imams avaient également engagé des poursuites contre le passagers anonymes qui les avaient signalés comme suspects, avant que les Républicains du parlement poussent à l’adoption d’une mesure de protection des témoins dans de telles circonstances.
Comme Robert Spencer l’explique dans mon nouveau livre Stealth djihad (le “djihad furtif”), si leur démarche avait été couronnée de succès, les seuls gagnants auraient été les pirates de l’air djihadistes islamiques.
Les activités contestables de l’imam Shahin ne débutaient pas là non plus.
Le rapport de Sean Holstege et Dennis Wagner note également que Shahin a collecté des fonds pour deux organismes de bienfaisance islamique accusés de financer le djihad du groupe terroriste Hamas.
Pourtant, en dépit de tout cela, le journal Republic nous apprend que Shahin a servi de liaison entre la communauté musulmane et le FBI et la police de Phoenix. Comment se fait-il qu’un homme comme Shahin puisse entrer dans les bonnes grâces du FBI?
Parce que de nombreux fonctionnaires à des postes d’influence aux États-Unis sont en attente passive alors que le “djihad furtif” progresse. Ils sont ignorants de ce qui se passe, et ceux qui savent font en sorte de ne pas leur dire. Volontairement aveugles, les fonctionnaires semblent entièrement dévoués au “multiculturalisme” et à la ”diversité”, quel qu’en soit le coût. Ils entravent les enquêtes et la résistance a ce djihad furtif. Il n’y a pas de moyen de mesurer l’ampleur de l’infiltration djihadiste au cœur des agences du renseignement américain, et des autorités, mais il ne fait pas de doute que le facteur principal permettant cette infiltration est le “politiquement correct” des responsables américains. Dans cette guerre mondiale contre le djihad, personne ne veut paraître anti-arabe ou anti-musulman – ce qui a conduit plus ou moins directement à de graves défaillances dans la sécurité nationale.
Source : Human Events traduction Bivouac-id.
Voir aussi:
Procès Khawaja – L’ennemi intérieur, par David Harris
Grande-Bretagne – Infiltration d’islamistes extrémistes au cœur du gouvernement
Coup de théâtre au Pentagone – L’infiltrateur Islam est démasqué et licencié !
Un ministère des affaires islamiques à l’intérieur du ministère des affaires étrangères du Canada ?