L’Égypte a pour réputation de torturer ses prisonniers en les sodomisant avec des manches à balais… Imaginez si le pauvre Nasrallah subissait ce traitement!
Il y a une Guerre froide au Moyen-Orient, et des reconfigurations. Lire: Islamists of the World Unite; You Have Nothing to Lose Except Any Pretext of Being Moderate, par Barry Rubin. Source: Aawsat.com
Barry Rubin dirige le Global Research in International Affairs (GLORIA) Center et publie le Middle East Review of International Affairs (MERIA) Journal.
L’Égypte réclame l’arrestation du chef du Hezbollah
LE CAIRE, 16 avril (UPI) – Le Caire a dit qu’il pourrait déposer des accusations et demander des mandats d’arrêt internationaux contre les officiers du Hezbollah, dans le cadre d’un présumé complot terroriste sur le sol égyptien.
Selon les autorités égyptiennes, le Secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a ordonné à une cellule du Hezbollah sur la péninsule du Sinaï de l’Égypte de perpétrer de multiples attaques dans leur pays.
Le Caire a arrêté de nombreux suspects dans des raids contre des militants dans la péninsule, disant que des informations obtenues lors d’interrogatoires appuient ses allégations.
Nasrallah a admis que l’un des suspects du Sinaï – Mohammad Yousef Mansour, ou Sami Shihab – était un intermédiaire du Hezbollah pour le Hamas palestinien, mais il a nié les allégations d’un complot plus vaste.
JDD.fr, 12 avril 2009: Un journal gouvernemental égyptien s’en prend dimanche avec virulence au chef du Hezbollah libanais, le cheikh Sayyed Hassan Nasrallah. Le journal publie une photographie de Nasrallah sous le titre: “Un criminel qui ne connaît pas la repentance“. “Nous ne vous permettons pas, oh cheikh à la face de singe, de vous moquer de notre justice, parce que vous êtes un bandit, un criminel endurci qui a tué ses compatriotes. Nous ne vous permettons pas de menacer la sécurité de l’Egypte (…) Si vous vous attaquez à sa souveraineté, vous brûlerez!”, écrit dimanche dans un éditorial en une le rédacteur en chef du journal Al Gomhouria, Mohamed Ali Ibrahim.
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