Rappelons qu’au Québec, la ministre au Sport Michelle Courchesne considère le drapeau comme une guenille…
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Lundi le 18 août, l’athlète français Maheidine Mekhissi-Benabbad remportait la médaille d’argent du 3000 mètres steeple aux Jeux de Pékin.
![](resizer.php?imgfile=img/jpg/drapeau_francais.jpg&max_width=476)
Extraits du commentaire de Laudance, qui nous a signalé cette nouvelle:
Sachez donc qu’à l’issue de cette épreuve, le médaillé d’argent représentant la France, en l’occurrence un certain Maheidine Mekhissi-Benabbad, s’est emparé du drapeau tricolore et l’a placé sur ses épaules, comme le font tous les athlètes à l’occasion de leur tour d’honneur. Mais l’individu en question ne s’est pas contenté de se plier à cette tradition. En effet, il a, par la suite, étalé le drapeau sur le sol et s’en est servi comme d’un tapis de prière, le nez à terre et le c… en l’air, une attitude que le fait d’être musulman justifie amplement. Mais il en va autrement de l’instrument !
Pourquoi ? Tout simplement parce qu’il me semblait que le drapeau français était jusqu’à présent un symbole unique : celui d’une République laïque et non celui d’une religion. Aurais-je donc manqué un épisode de l’évolution récente de l’Eurabia en attendant celle du Canada ? Peut-être pas, car il est vrai que l’islam ressemble davantage à une méthode de combat, à l’arme politique dont se servent les fanatiques. Mais si l’on fait abstraction de cette constatation, il s’agit bien d’un élément nouveau aux J.O. et à verser au dossier déjà très épais de l’islamisation de la France.
Ce comportement aussi déplacé qu’engagé (c’est un euphémisme) a bien sûr choqué les téléspectateurs encore lucides et attachés aux valeurs de la République française. On le serait à moins… à moins que l’on soit aveugle ou que l’on fasse partie de l’élite chargée de préparer les Européens, puis les Canadiens, à la “dhimmitude”. Moyennant l’acceptation désintéressée de pétrodollars ? Allez savoir. Il n’empêche que les gardiens de la pensée ont fait preuve de vigilance, puisque les images en question ont été soigneusement retirées des résumés. Pas comme celles des deux Américains qui, en 1968 à Mexico, avaient brandi le poing dans le cadre de leur lutte pour la cause des Noirs. Elles ont maintes fois fait le tour de la planète et on les voit encore aujourd’hui.
En effet, il ne fallait surtout pas que cet athlète “français”, fruit d’une immigration “réussie”, apparaisse en boucle sous son vrai jour… et l’islam avec lui. Une seule fois, à cause du direct, cela suffisait amplement, contrairement aux habitudes des médias audiovisuels spécialisés depuis longtemps dans les rediffusions, le matraquage, la propagande et le lavage des cerveaux. Quand ces procédés servent à dénigrer l’Occident en général et l’Amérique en particulier, sans parler d’Israël qui, au rang des pestiférés, partage le podium avec les U.S.A., c’est… de bonne guerre. Mais pas question de montrer du doigt les fils d’Allah ! Alors ? Eh bien, je décerne la médaille d’or du politiquement correct à ceux qui reçoivent de l’argent pour ça.