La IDF (les forces de défense israéliennes) filme l’opération «Plomb durci» et affiche les clips sur YouTube.
Ce que les palestiniens font est assez évident: ils utilisent leurs villes, leurs terres et leurs citoyens comme couverture pour leurs nombreux sites de lancement de roquettes, installations militaires et usines de bombes. Une image dans la vidéo montre un verger avec un creux au milieu: c’est une rampe de lancement. Des maisons entourent une décharge de munitions.
« Également instruit de ce que vous pourrez et de ce que vous ne pourrez pas, vous ne formerez aucune entreprise qui ne puisse être menée à bonne fin » (Sun Tzu, L’art de la guerre, ouvrage qui aurait été écrit à une période inconnue, peut-être entre 443 et 221 avant Jésus-Christ). Ce que dit Sun Tzu aux stratèges militaires, c’est de ne pas s’engager dans une bataille sans l’assurance de la supériorité (la «proportionnalité» n’entre pas dans l’équation). On se bat pour gagner, et de manière décisive.
Charte du Hamas, article 8 : «Allah est le point d’ancrage, le Prophète est le modèle, et le Coran, sa constitution : le djihad est son chemin et la mort pour la cause d’Allah est le plus grand de ses vœux».
Sun Tzu a écrit sur la guerre, pas le djihad. Or, le combat du Hamas est un djihad. Le Hamas se fout du nombre de morts, ce sont tous des martyrs destinés au paradis. Après Israël, et l’extermination des Juifs, les djihadistes réclameront l’Andalousie, etc. Ça ne finira jamais. Ils veulent que l’islam domine la planète. C’est leur credo. Et ces fanatiques ont de nombreux alliés de circonstance.

Voir aussi:
Le Hamas avoue utiliser des boucliers humains