Nous approchons dangereusement de l’ère où une Commission pour la Prévention du Vice et la Promotion de la Vertu patrouillera les lieux publics au Québec, comme en Iran, en Arabie saoudite et en Afghanistan. C’est la tyrannie de la bien-pensance.
Lisez Le blasphème et l’apostasie démystifiés par l’avocat torontois Mumtaz Ali.
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Blasphémer entraîne l’expulsion
Tout langage blasphématoire à La Ronde est interdit et peut signifier l’expulsion sans remboursement.
La Ronde ne publie pas la liste des blasphèmes non permis, «mais tous les employés de La Ronde sont sensibilisés à un code de conduite qui ne laisse aucune place à un tel comportement puisque nous sommes sur un site familial», précise Martin Roy, chef des relations publiques.
«Nous demandons à tous les visiteurs de respecter le voisin dans sa façon de parler et même de se vêtir», dit-il. (…)
De conclure Martin Roy : «La Ronde est un site de divertissement où le plaisir et la joie doivent dominer. Les personnes ou les groupes qui deviennent offensants pour les autres ne sont pas les bienvenus.»
Voir aussi:
Le blasphème et l’apostasie démystifiés par l’avocat torontois Mumtaz Ali
Pays-Bas – Plainte contre des ouvriers de la construction portant des shorts et des T-Shirts