Par Étienne Harvey
Dans son édition de décembre 2010, le magazine français Le cri du contribuable aborde la question du financement par des fonds publics de plusieurs mosquées sur le territoire français. L’article est basé sur les résultats d’une recherche exhaustive menée par Joachim Véliocas au sujet du support qu’ont accordé et que continuent d’accorder plusieurs maires français à différentes organisations islamistes. Véliocas a livré les résultats de sa recherche il y a quelques semaines dans un livre qu’il intitula Ces maires qui courtisent l’islamisme.
Voici deux des cas mentionnés dans l’article du Cri du contribuable:
« Alain Juppé, maire de Bordeaux, a (…) accordé à l’association des musulmans de Gironde un terrain de 8 500 m2 pour y construire une mosquée. Prix: un euro symbolique. Le prix du marché aurait été de 677 000 euros. Le projet ? Ce sera un complexe cultuel (sic) et culturel, avec salle de prière, cafétéria, centre culturel, amphithéâtre, bibliothèque, salles de classe… »
« Le conseil général des Bouches-du-Rhône (PS) quant à lui, n’a pas donné une “subvention déguisée” à l’Institut méditerranéen d’études musulmanes, mais une vraie, de 7 500 euros. Pour couronner le tout, la mairie de Marseille finance chaque année la fête de l’Aïd-el-kébir, en union de prières avec le conseil général des Bouches-du-Rhône et la région Provence Alpes Côte d’Azur. »
L’article intégral est disponible en version PDF en cliquant ICI.
Joachim Véliocas est également directeur de l’Observatoire de l’islamisation.