Faute de trouver de la véritable discrimination à combattre dans la société, le Tribunal des droits de la personne de Colombie-Britannique explore de nouveaux territoires à la recherche de «droits humains» fondamentaux encore inconnus… ce qu’Ezra Levant appelle de «faux droits humains».
Un humain du nom de Hayes a des relations sexuelles avec des reptiles, et au lieu de se retrouver en institut psychiatrique, il plaide sa cause devant le Tribunal des droits de la personne.
Le service de police de Vancouver l’a jugé inapte à obtenir un permis de chauffeur en raison de ses activités au sein d’une secte sexuelle, et il se plaint de discrimination.
Pendant ce temps, les «féministes» islamistes sont occupées à nous faire avaler des couleuvres!
Question: Que diront les groupes de défense des droits des animaux?
Extraits: Droits sexuels: Le tribunal déterminera si les adeptes du BDSM sont un groupe protégé en vertu du Code des droits de la personne:
Hill s’est aussi référé à d’autres documents Internet sur lesquels figuraient les autres noms de Hayes, soit Purple Crow et Reptoid. Ces documents décrivent «un certain nombre d’interactions sexuelles avec au moins une créature reptilienne».
Hayes, qui s’identifie comme païen, a qualifié l’expérience de «très spirituelle» et a dit que de nombreux païens lui avaient fait part d’expériences similaires dans leurs rituels.
via BCF