Les fous d’allah vont commencer par s’en prendre à l’Inde, ce pays démocratique de polythéistes honnis d’allah… Peut-être que l’Inde va agir pré-emptivement.
Pendant ce temps, les efforts du Pakistan aux Nations-Unies sont entièrement consacrés à réprimer le blasphème…
Le Pakistan pourrait s’effondrer d’ici quelques mois, a dit l’un des plus influents experts en matière de contre-insurrection à Washington.
L’avertissement intervient au moment où les États-Unis redéploient leurs forces militaires et leurs diplomates pour tenter d’endiguer la montée de la violence et de l’anarchie en Afghanistan et au Pakistan.
«Nous devons affronter le fait que si le Pakistan s’effondre, cela fera paraître anodin tout ce que nous avons vu jusqu’à présent dans ce que nous appelons maintenant la guerre contre le terrorisme», a déclaré David Kilcullen, un ancien officier de l’armée australienne qui était un conseiller expert pour l’administration Bush et qui est devenu consultant pour Obama.
« Vous ne pouvez pas traiter à la légère une prise de contrôle du Pakistan et de ses armes nucléaires par al-Qaïda », a-t-il dit.
Alors que les États-Unis mettent en œuvre une nouvelle stratégie tellement globale en Asie centrale que certains analystes appellent maintenant le conflit transfrontalier « la guerre d’Obama », le Dr Kilcullen a déclaré que le temps commençait à manquer pour les efforts internationaux visant à empêcher les deux pays de sombrer.
Quand il a dévoilé sa nouvelle politique «Afpak » à Washington le mois dernier, le président des États-Unis, Barack Obama, a averti que bien qu’al-Qaida comblera le vide laissé par l’effondrement de l’Afghanistan, le groupe terroriste est déjà enraciné au Pakistan et planifiait déjà de nouvelles attaques sur les États-Unis.
« La sécurité des personnes dans le monde entier est en jeu », a-t-il dit.
Décrivant l’ampleur des défis auxquels sont confrontés les États-Unis en Irak, en Afghanistan et au Pakistan, le Dr Kilcullen a mis à égalité les deux pays envahis par les forces dirigées par les États-Unis après les attaques du 11 septembre – chacun a une population de plus de 30 millions.
«Mais le Pakistan a une population de 173 millions et 100 armes nucléaires, une armée plus importante que l’armée américaine, et la direction d’Al-Qaïda est implantée dans les deux tiers du pays que le gouvernement ne contrôle pas», a-t-il dit au Herald.
Ajoutez à cela un establishment de sécurité du Pakistan qui est passé outre aux directives données par le gouvernement élu à Islamabad pendant que des vagues de violence extrémiste déferlaient sur l’ensemble du pays – pas seulement dans les régions tribales sauvages de la région qui borde l’Afghanistan.
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Voir aussi:
Pakistan – Le chef des talibans Baitullah Mehsud déclare la guerre aux États-Unis
