Traduction du billet de Binks: More Tariqness, le 20 janvier 2009
RELIER LES POINTS NOIRS N’EST PAS DIFFICILE. Se donner la peine de regarder ce qui est souvent juste devant nos yeux est la partie difficile. Alors, quand Robert Jago a informé le Canada que l’islamiste Tariq Ramadan venait à Vancouver pour y propager sa version particulière du djihad furtif, faite de charme et de « modération », nous avons blogué la nouvelle. Notre collègue blogueuse Scaramouche a écrit : «En dehors du livre de Fourest, la meilleure dissection/déconstruction de Ramadan que j’aie lue est Who’s Afraid of Tarik Ramadan? de Paul Berman.
Voilà, vous y êtes! Amusez-vous.
Donc, en plus des points chauds islamiques que sont Toronto, Montréal et Calgary, il semble maintenant que Vancouver soit dans la mire.
Il s’avère que l’Université Simon Fraser (SFU) a une branche très active du Muslim Students Association lié aux Frères musulmans (MSA). Le MSA est le Club de l’islam radical sur les campus. La façade amicale de la conquête et de la soumission de l’Occident à la charia et au gouvernement islamique.
Curieusement, le MSA de SFU ne semble pas manquer de pages Internet. Pourquoi? De multiples façons de lancer votre djihad, peut-être? Le MSA-SFU est probablement heureux de la venue de Tariq-furtif. Nul doute que tous les autres groupes islamistes en Colombie-Britannique seraient d’accord.
Le feu aux trousses, Tariq?
C’est triste à dire, mais beaucoup de Canadiens de bonne volonté verront le gentil M. Ramadan comme une bonne chose, un «modéré™» du type que nous voulons voir dans la société moderne pour contrer les mauvais musulmans effrayants qui semblent déterminés à tuer des gens et à dire des choses laides. Sauf que, en supposant que l’ensemble des critiques de M. Ramadan aient à moitié raison, c’est un musulman au double langage : il livre à son public des choses correctes et des mensonges religieusement sanctionnés et des demi-vérités(ou taqqiya). Et puis, il y a tout le reste qu’il dit et fait en coulisses ou pour un auditoire musulman radical.
Cela signifie qu’il ne fait pas du tout partie des bons musulmans. Cela signifie également que ses commanditaires et ses fans à Vancouver sont soit 1) incapables de Googler ses opinions réelles, soit 2) confortables avec l’ensemble de ses idées. Mal informés, ou radicaux? Ignorants, ou djihadistes?
Un virus infecte le Canada
Ainsi, il semble qu’une partie de la communauté musulmane de Vancouver et de l’Université Simon Fraser invite un homme malveillant à prendre la parole à une université canadienne, un homme dont la vie entière est consacrée à la tromperie acceptable et au suprématisme de la charia. Il travaille en outre avec d’autres musulmans radicaux en vue de détruire les libertés, les institutions et les principes dont il jouit en Occident. Tariq Ramadan est comme un virus informatique caché dans un e-mail ou un fichier ou une image ou un site Internet. Il fonctionne dans les coulisses, selon le code interne et l’intention du hacker.
Il nous appartient de ne pas perdre le Canada. Tariq voudrait nous aider à le perdre.
