Avis aux lecteurs: L’auteur de cet article fait des allégations sérieuses sur la collaboration d’éléments des forces de sécurité européennes avec des anarchistes radicaux alliés à des réseaux djihadistes du Moyen-Orient en vue de déstabiliser l’Europe. Il affirme que les troubles actuels préfigurent des troubles plus importants à venir. Nous ne sommes pas en mesure de confirmer si de telles allégations sont appuyées sur des preuves solides. À défaut de telles preuves, cet article serait à classer dans le dossier des «théories de la conspiration»…
Nous vous proposons cet article à titre d’information.
Traduction d’un article de Ioannis Michaletos affiché sur: International Analyst Network
Les émeutes ont été orchestrées dès la fin de l’été 2008. Des rapports de la police grecque avertissaient que des émeutes seraient déclenchées au plus tard vers la période de Noël. L’emplacement et la justification n’étaient pas connus, mais n’importe quel événement aurait pu servir de déclencheur. C’est une imitation de ce qui s’est passé en France en octobre 2005.
Les coupables au plus haut niveau sont les réseaux islamiques au Moyen-Orient qui marchent main dans la main avec des officiels occidentaux corrompus qui vendent leurs services au plus offrant.
Le but est de déstabiliser la Grèce, car elle est le « maillon faible » des pays de la zone euro. Le but ultime est la création d’un espace européen propice à l’expansion des réseaux du Moyen-Orient. Pour le moment, ces derniers utilisent une variété de techniques visant à soutenir leurs objectifs:
Le terrorisme, la désinformation, les Psy Ops, la corruption de fonctionnaires. Ils essaient de soulever les États-Unis contre la Russie, et de désintégrer les liens entre l’UE et les États-Unis. Ce sont eux qui ont mis le feu aux forêts grecques à l’été 2007, une opération que certains appellent le « Projet Ibrahim », rappelant les dommages similaires dans la même région infligés par Ibrahim Pacha d’Égypte à l’été 1827 durant la révolution grecque.
C’est une question très importante de nos jours compte tenu de l’existence de liens plus qu’évidents entre des renégats occidentaux du renseignement et des mouvements anarchistes radicaux en vue de déstabiliser les pays européens.
Le réseau d’anarchistes radicaux de jeunes désorientés est très fort en Europe, ainsi que l’ont montré les émeutes de 2005 où les radicaux et les musulmans ont uni leurs forces pour nuire à l’image de Nicolas Sarkozy, en vain. En France récemment, le ministère de l’Intérieur a annoncé que des anarchistes qui étaient en contact avec leurs homologues grecs et italiens ont tenté de saboter le réseau ferroviaire (TGV). L’incapacité des gouvernements occidentaux de comprendre ce qui est réellement en jeu a déjà de graves conséquences pour l’Europe.
En outre, les ententes négociées entre les entreprises d’énergie européennes et russes qui permettront d’accroître les importations de gaz naturel de la Russie diminueront grandement l’influence de l’Arabie saoudite en Europe ainsi que ses revenus à long terme.
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Revenons à la Grèce : les émeutes ont été organisées en utilisant les nouvelles techniques de l’Internet, comme la messagerie instantanée à partir d’un téléphone mobile à des pages Internet telles que Indymedia, des CB, des pages Facebook, des talkies-walkies, la construction de «réseaux de Flux » ainsi que l’utilisation des « réseaux sous-terrains » déjà en place dans la ville.
Le gouvernement français a déjà exhorté le gouvernement grec à prendre des mesures sévères et il a fourni l’assistance de son réseau de renseignement. Dans les jours à venir, il semble que toutes les forces de sécurité connues dans le monde soit tenteront de prendre avantage de la situation, soit prendront le parti du gouvernement grec.
Pour conclure, le présent blog note avec insistance que la responsabilité des capitales occidentales revêt une dimension historique. Les émeutes de «jeunes radicaux» deviendront une réalité quotidienne sur le continent dans les années à venir et les forces de sécurité devraient regarder plus loin que le bout de leur nez lorsqu’elles évaluent une situation.
Une 4ème guerre mondiale a commencé en 2001, et il y a des gens dans nos rangs qui collaborent avec l’ennemi. Avant qu’on puisse déclarer victoire, il faut qu’ils soient extirpés et punis en conséquence.
Les émeutes en Grèce ne sont qu’un petit incident dans la guerre en cours qui pourrait durer plus longtemps que les précédentes et dont la nature couvre tout à la fois les domaines nationaux, sociaux et économiques.
Les lecteurs intéressés ne doivent pas oublier que la première «petite guerre» de la Guerre froide a commencé en sol grec en 1946. L’ennemi était alors clair et présent. Maintenant, il ne l’est pas et la lutte sera beaucoup plus difficile.
Post Scriptum
Plusieurs « groupes radicaux » grecs ont adopté des «Noms de Guerre» arabes, ils promeuvent l’immigration clandestine des musulmans en Europe et appellent à la destruction de la civilisation occidentale. Ils font partie d’un réseau presque mondial qui agit comme le « pouvoir soft » du pouvoir violent envisagé par Al-Qaida. Une fois de plus, il convient de souligner que des éléments incontrôlés des forces de sécurité occidentales les protègent et on doit s’en occuper le plus tôt possible.
Voir aussi:
Les émeutes de Montréal-Nord : quelques observations, par Carl Bergeron
Grande-Bretagne – Infiltration d’islamistes extrémistes au cœur du gouvernement
Coup de théâtre au Pentagone – L’infiltrateur Islam est démasqué et licencié !
Un ministère des affaires islamiques à l’intérieur du ministère des affaires étrangères du Canada ?
Procès Khawaja – L’ennemi intérieur, par David Harris