On entend déjà les protestations des lobbies victimaires dénonçant la violation des droits fondamentaux de ceux qui veulent nous tuer…
Aux Pays-Bas, plus de 100 étudiants d’origine iranienne ont déposé une poursuite contre le gouvernement des Pays-Bas et son ministre de l’Éducation pour les avoir expulsés des programmes d’étude sur la technologie nucléaire dans les universités du pays de peur qu’ils ne communiquent des informations à Téhéran.
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Des terroristes scientifiques tentent d’infiltrer les meilleurs labos britanniques
L’année dernière, des dizaines de personnes soupçonnées de terrorisme ont tenté d’infiltrer les laboratoires de pointe de Grande-Bretagne afin de développer des armes de destruction massive, telles que des armes biologiques et nucléaires.
![](resizer.php?imgfile=img/jpg/UK_labs.jpg&max_width=476)
Les services de sécurité MI5 et MI6 ont intercepté jusqu’à 100 terroristes potentiels se présentant comme des étudiants de 3e cycle qui auraient tenté d’accéder aux laboratoires pour acquérir les matériaux et l’expertise nécessaires pour créer des armes chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires, a confirmé le gouvernement.
Cela fait suite aux avertissements de MI5 au Foreign and Commonwealth Office que le réseau terroriste Al-Qaida cherche activement à recruter des scientifiques et des étudiants ayant accès à des laboratoires contenant des virus mortels et la technologie des armements.
Il a ajouté: «Il y a des preuves empiriques d’un problème avec des étudiants de 3e cycle susceptibles de devenir des proliférateurs d’armes». Les étudiants étrangers, dont un certain nombre seraient originaires de «pays préoccupants» comme l’Iran et le Pakistan, ont été interceptés dans le cadre du Academic Technology Approval Scheme mis en place par les universités et les services de sécurité en novembre dernier.
Les résultats soulèvent des questions sur le nombre de personnes soupçonnées de terrorisme qui pourraient déjà avoir infiltré le réseau de laboratoires du Royaume-Uni. Rihab Taha, surnommée «Dr Germ», qui a travaillé sur le programme d’armes biologiques de Saddam Hussein, avait étudié pour son doctorat sur les toxines végétales à l’École des sciences biologiques de l’Université East Anglia à Norwich.
Voir aussi:
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