Le Daily Mail et AFP rapportent qu’une étudiante en journalisme à Londres, d’origine canadienne, a été victime d’un viol par un immigrant clandestin à Calais, en France. Il semble qu’elle faisait un reportage sur les demandeurs d’asile qui cherchent à traverser la Manche. Elle se serait rendue seule dans le camp. Elle est maintenant devenue elle-même le sujet de reportages. Une histoire horrible.
Connaissant le discours dominant de la bien-pensance qui a cours en Occident, nous ne serions pas surpris que cette jeune femme ait été convaincue qu’elle aurait affaire à de doux agneaux inoffensifs, victimes de traitements cruels, inhumains et dégradants aux mains des vils blancs racistes. Animée d’un désir de les aider, elle ne s’est pas méfiée (la méfiance envers l’Autre étant un sentiment «raciste»). Les hommes en question étaient Afghans, Kurdes, Iraniens et Africains. Elle n’était probablement pas voilée, et ils l’ont traitée comme une prostituée.
_____________________________________________
Traduction d’extraits
La victime, qui ne peut être nommée pour des raisons légales, a été décrite comme «une étudiante de Londres qui s’était rendue en France pour attirer l’attention sur les problèmes entourant l’immigration clandestine».
Ce soir la police a confirmé qu’elle est née à Vancouver et qu’elle portait un passeport canadien.
Un porte-parole de la police a ajouté: «Elle semblait travailler seule, ce qui était assurément très dangereux. Nous appréhendons que les hommes au sujet desquels elle préparait un reportage l’aient attaquée dans le bois où ils séjournaient».
La femme, qui semble être dans la vingtaine ou au début de la trentaine, a raconté à des locaux qu’elle voulait passer du temps avec des immigrants soit-disant clandestins qui tentaient de rejoindre la Grande-Bretagne en s’arrimant à des camions.
Le camp de squatters fait partie d’une zone industrielle désaffectée appelée «Les Dunes», à une courte distance à pied du port.
Jusqu’à 500 hommes y vivent, avec le soutien d’organismes de bienfaisance locaux.
La police française anti-émeute aurait appréhendé près de 200 hommes pour interrogatoire.
Dix d’entre eux sont toujours détenus et la police a déclaré qu’il était possible qu’ils aient tous été impliqués dans le viol, que les détectives ont décrit comme «extrêmement brutal».
Source: Daily Mail et AFP
Voir aussi:
Histoire d’une série de viols collectifs racistes en Australie – un procès de la bien-pensance