«Allah ordonne que les musulmans tuent les infidèles et violent leurs épouses et leurs filles. Le prophète pratiquait régulièrement de tels actes sous les ordres d’Allah. Alllah dit que les non-musulmans sont des bestiaux et les plus viles créatures. Pour Allah, les non musulmans ne sont jamais des victimes innocentes». L’imam britannique Abdul Mukin a mis ses enseignements en pratique et brutalement violé une infidèle. Au tribunal, des femmes en burqa ont crié à l’islamophobie et à l’injustice.
Elles ont maintenant compris qu’il faut importer la charia en Grande-Bretagne, comme l’a suggéré l’archevêque de Cantorbéry, pour que justice soit rendue selon les préceptes de l’islam.
Le prêche de cet imam, qui déshumanise les «non musulmans», s’appuie sur la vision suprématiste du monde enseignée par l’islam. Il n’y a pas de place pour le jugement moral fondé sur la loi naturelle. Si Allah ordonne le meurtre – et que le prophète pratiquait le meurtre et le viol des infidèles – ces exhortations irrationnelles dictent la conduite du musulman d’aujourd’hui. Refuser l’impunité au violeur des femmes infidèles serait raciste!
L’imam Mukin officiait à la East London Mosque, la plus importante de Londres. Cliquez ici pour le site officiel de cette mosquée. Le réseau FOX News a diffusé un reportage sur les démêlés de cet imam avec la justice: Non-Muslims Deserve to Be Punished. Cliquez ici pour y accéder.
London Imam’s Attempt to Carry Out Sunna Gone Awry, par Ayesha Ahmed, le 22 mars 2008
Au cours d’une session de questions/réponses à la East London Mosque, l’imam prédicateur Abdul Mukin s’est fait poser une question par une musulmane portant le niqab, au sujet d’une récente fatwa d’un imam bien connu.
Musulmane: «L’imam borgne Hamza Mesri a dit que les musulmans britanniques peuvent tuer les infidèles et avoir des rapports sexuels avec leurs épouses et leurs filles. Êtes-vous d’accord avec lui?»
Imam: «Ce n’est pas ce que dit l’imam Hamza qui importe ni la question de savoir si je suis d’accord avec lui. C’est dans le Coran et c’est donc ce qu’ordonne Allah».
Musulmane: «Mais pourquoi Allah dirait-il aux musulmans de tuer et de violer des non musulmans innocents?»
Imam: «Parce que les non-musulmans ne sont jamais innocents, ils sont coupables de nier Allah et son prophète. Si vous ne me croyez pas, l’autorité juridique est ici, c’est le plus haut avocat musulman de la Grande-Bretagne, Anjem Choudhary (voir video)».
Killing of Non-Muslims is Legitimate (British Mullah)
Musulmane: «Mais notre prophète a été envoyé comme miséricorde pour toute l’humanité, il n’a jamais fait de mal à quiconque de toute sa vie.»
Imam: «Oui, il n’a jamais fait de mal à un musulman dans sa vie. Mais Allah dit que les non-musulmans sont les bestiaux les plus inférieurs et les plus viles créatures – dans les versets 8.22, 8.55, 95.5 et 98.6 – et les musulmans ont reçu l’ordre de les tuer».
Musulmane: «Mais est-ce que le prophète a approuvé de les tuer et de violer leurs femmes?»
Imam: «Oui il l’a fait. Il a non seulement approuvé de tels actes, mais lui et ses sahabas les pratiquaient régulièrement sous les ordres d’Allah. Il n’y pouvait rien. Si vous ne me croyez pas, vous devez croire les hadiths sahih (Note de PDB: deuxième source de la loi islamique, la «Tradition Authentique» chez les Sunnites). Je vais vous citer deux hadiths à propos de sa journée type après un raid.
Ces hadiths portent sur le raid du village juif Khaibar dont le chef était Kinana qui avait une superbe épouse de 17 ans, Safiya. Le Prophète a torturé et décapité Kinana en présence de Safiya, et il l’a ensuite violée toute la nuit».
– Sahih Bukhari, volume 5, livre 59, numéro 512: Anas raconte: Ensuite, les habitants de Khaibar sortirent en courant sur les routes. Le Prophète a fait tuer les hommes et les enfants et prendre les femmes comme captives. Safiya était parmi les captives. Elle a d’abord fait partie de la part de butin de Dahya Alkali mais plus tard, elle a appartenu au Prophète (le prophète l’a emmenée loin de Dahya après lui avoir donné deux femmes et cinq hommes en échange de Safiya. (Réf. Sahih Muslim 8:3328 ).
– Sirat e Rasulullah, Ibn Hisham, page 766 : «Safiya a été capturée dans le raid de Khaibar et a été revendiquée par l’apôtre comme sa part de butin. Elle était alors âge de dix-sept ans. Elle a été soignée pour être mise au service du Prophète par Umm Sulaim, la mère d’Anas ibn Malik. Ils ont passé la nuit sur place. À l’aube, le Prophète soupçonnait certains mouvements proches de la tente. Il sortit pour se renseigner et a vu Abu Ayyub. Il lui a demandé ce qu’il faisait près de sa tente. Il a répondu: Je craignais pour vous avec cette jeune femme. Vous avez tué son père, son mari et plusieurs de ses proches et jusqu’à récemment, elle était une incroyante. J’avais vraiment peur pour vous à cause d’elle, et je veillais sur vous». Le Prophète a prié pour Abu Ayyub Al-Ansari (Ibn Hisham, p. 766).
La description de la nuit agitée entre le Prophète de 62 ans et l’adolescente Safiya a rendu la femme musulmane au niqab très déprimée et l’auditoire masculin très excité. L’imam lui-même est devenu excité et a commencé à penser à la possibilité de tuer un infidèle et de violer sa femme, sachant qu’Allah pourrait le récompenser par le Paradis pour avoir suivi les traces de son apôtre bien-aimé.
Après mûre réflexion, l’imam Abdul comprit que tuer était trop risqué en Angleterre. Il pourrait se retrouver derrière les barreaux pour la vie. Le viol est souhaitable, moins risqué et plus amusant. Les membres de sa congrégation musulmane pourraient l’aider dans ce devoir islamique en fournissant comme alibi qu’il prêchait dans la mosquée au moment du viol (dans le cas où il serait appréhendé). Il a discuté avec eux au sujet de cette faveur. Sept d’entre eux ont accepté de témoigner pour lui pourvu que l’imam fasse de même pour eux s’ils étaient eux-mêmes arrêtés pour leur viols au nom du djihad.
Depuis un bon moment déjà, l’imam convoitait une belle infidèle qui vivait seule dans le quartier. Une nuit il est entré dans son appartement, il s’est s’emparé d’elle sous la menace d’un couteau et l’a brutalement violée. Pour compléter la suna, il a pris son ordinateur portable coûteux comme butin halal (verset 8.1).
La femme avait vu cet imam barbu à l’apparence bizarre et au ventre proéminent allant et venant à la mosquée du quartier. Elle l’a signalé à la police et l’imam a été arrêté. Comme promis les sept namazis ont témoigné pour lui et fourni l’alibi que l’imam prêchait au moment du viol.
Mais hélas! Les test d’ADN ont contredit leur témoignage. Lui et ses sept amis ont tous été condamnés à des peines de prison.
Leurs épouses en burqa présentes au tribunal ne pouvaient pas croire ce déni de justice. Elles ont crié à l’abus par le juge pour avoir puni leurs maris qui pratiquaient leur religion. Elles ont demandé pourquoi un acte approuvé par le coran et pratiqué par le saint prophète était-il passible d’une peine dans un pays qui revendique la liberté de religion?
C’était clairement une discrimination à l’encontre des musulmans et certainement de l’islamophobie. Maintenant, elles ont compris combien il est important pour les musulmans d’importer la charia en Angleterre comme suggéré par le savant archevêque.
Mais l’imam Abdul n’avait aucun regret. Pour la première fois de sa vie, il avait eu une femme blanche et en plus, il a acquis beaucoup de récompense pour avoir suivi les traces de son bien-aimé prophète.
Les vrais perdants sont les pieux namazis qui n’ont profité ni d’une kafira (infidèle) ni gagné une quelconque récompense (vertu), mais fini dans la maison des singes (khaya peeya kuch nahin, glass tora, barana).
Morale de l’histoire: Les musulmans devraient commettre des viols uniquement dans des pays régis par la charia, où c’est sans risque. La charia exige quatre témoins masculins pour prouver un viol.
(Avis aux lecteurs. Ce texte est une parodie. Un dialogue fictif dans une mosquée a été imaginé par l’auteur. Ce texte reflète ce qui aurait fort bien pu se passer avant le viol. Par contre, le viol a bel et bien été commis par un prédicateur qui a été condamné à la prison. Ses complices ont été condamnés pour entrave à la justice pour avoir fourni un faux alibi).
Cette histoire a été rapportée dans le journal britannique The Sun, le 18 mars 2008. Cliquez ici
Mosque fiend caged
Un leader musulman qui prétendait qu’il prêchait à la mosquée pendant qu’il commettait un viol brutal a été emprisonné pour dix ans hier.
Abdul Mukin Khalisadar a tenu un couteau à la gorge de sa victime pendant qu’il l’attaquait dans sa maison.
Il a convaincu sept hommes d’appuyer sa version à l’effet qu’il était dans la mosquée au moment du viol.
Khalisadar a admis plus tard avoir violé la femme de 27 ans.
Il a prétendu qu’une substance qu’il avait prise pour l’aider avec le jeûne du Ramadan l’avait rendu «hyper».
Le prédicateur a forcé son chemin dans la maison de sa victime alors qu’elle revenait d’une soirée, a appris le tribunal.
Il a menacé de la tuer même après qu’elle a prétendu être enceinte de jumeaux afin de le rebuter, a déclaré le procureur Simon Carr.
Khalisadar a également volé un ordinateur portable de la maison de Whitechapel, à East London.
Il a été pris par l’ADN. Le juge Timothy King a fulminé contre son «hypocrisie».
L’imam a été condamné à 7 ½ ans pour le viol et à 2½ pour complot visant à pervertir la justice.
Sept membres de la East London Mosque ont admis avoir perverti la justice et écopé de 12 mois chacun.
Des femmes en burqa dans la galerie réservée au public ont crié à l’abus du juge – l’une d’elles a crié que la victime était une prostituée.
Voir aussi:
Recrudescence des viols racistes commis par des musulmans
Recrudescence des agressions homophobes par des musulmans
“Fitna” de Geert Wilders est en ligne – le film dit la vérité
La femme musulmane non voilée risque l’enfer
Au Canada, des « experts » expliquent à la cour que l’islam justifie la violence contre les femmes