ORIGINAL ENGLISH VERSION ON BREITBART VIA JIHADWATCH
TRADUCTION FRANÇAISE DE POINT DE BASCULE
Présentation de l’article par Robert Spencer (JihadWatch) :
Il n’y a pas si longtemps les autorités françaises et d’autres en Europe niaient avec indignation l’existence de ‘zones sensibles’ [‘No Go Zones’ dans le texte anglais]. Les employés de la compagnie de livraison ne peuvent se permettre le luxe de cette rectitude politique.
Auteur : Chris Tomlinson
Référence : Breitbart, 20 novembre 2017
Titre original : French Postal Service Refuses to Deliver to Migrant ‘No Go Zone’ Citing ‘Danger to Staff’ / WebArchive – Archive.Today – JihadWatch
La compagnie de livraison Chronopost a annoncé qu’elle n’effectuera plus de livraisons dans la banlieue Seine-Saint-Denis de Paris densément peuplée de migrants parce que l’endroit est trop dangereux.
La semaine dernière, la compagnie a annoncé que, désormais, les résidents de cette banlieue de Paris devront se rendre à des sites de cueillette pour aller chercher leurs colis. La compagnie fait valoir que le risque à la sécurité de ses employés est trop grand pour qu’ils s’aventurent dans cette ‘zone sensible’ [‘No Go Zone’ dans le texte anglais], rapporte France Info.
Bien que Chronopost ait refusé de livrer dans certains secteurs jugés trop dangereux dans le passé, c’est la première fois qu’elle se retire d’une banlieue complète.
L’an dernier, 51 livreurs de Chronopost ont été attaqués durant leur travail. Le nombre de vols dans la région Île-de-France, où se trouve Seine-Saint-Denis, a augmenté de 40% ces deux dernières années. À travers la France, ce pourcentage a augmenté de 60%.
Laurent Russie, le maire communiste de Seine-Saint-Denis, a protesté contre la décision de la compagnie : «Il est totalement anormal qu’une partie de la ville aussi infime soit elle ne soit plus livrée par ce que je continue à considérer comme un service public.»
Chronopost est une filiale de La Poste possédée à 73,7% par le gouvernement français.
«La disparition des services publics entraîne des problèmes d’insécurité», a ajouté Russie.
Les employés des postes ne sont pas les seuls qui sont attaqués dans les banlieues de Paris. Plus tôt cette année, la police a été attaquée dans cette région lors de manifestations qui faisaient suite à des allégations d’agression sexuelle commise par la police avec une matraque contre un résident du quartier.
En juillet, environ 900 voitures ont été incendiées et un policier sauvagement attaqué dans la région lors de la visite du président Trump qui venait assister aux célébrations de la prise de la Bastille.
Seine-Saint-Denis est également un foyer pour la menace islamiste et le terrorisme islamique. La semaine dernière, le président français, Emmanuel Macron, a reconnu que les banlieues de Paris sont devenues des lieux sûrs pour les islamistes et il a promis de s’attaquer au problème.
«La radicalisation progresse car la République française a baissé les bras», a déclaré Macron. Il a ajouté : «Dans trop de villes, dans trop de quartiers, nous avons permis aux représentants qui déforment une religion et qui sèment la haine et l’isolement de fournir les solutions que la République ne donne plus.»
Lectures complémentaires
Christian Rioux (Le Devoir – 25 mars 2016) : Le ghetto musulman de Molenbeek peuplé d’une majorité de non-terroristes a offert une base d’appui et de repli aux terroristes
Giulio Meotti (Arutz Sheva – 29 mars 2016) : Un ancien secrétaire général de Médecins sans frontières condamne les conséquences désastreuses de l’immigration massive encouragée par le bourgmestre de Molenbeek pour se faire réélire
Steven Erlanger (New York Times – 7 avril 2016) : 90% des musulmans qui terminent leur cours secondaire dans les districts de Molenbeek et Schaerbeek considèrent que les terroristes de Paris et Bruxelles sont des ‘héros’