Selon un rapport alarmant, une petite ville du Yorkshire en Grande-Bretagne est en danger de devenir un patchwork de fiefs ethniques rivaux, créant une ligne de fracture dans le choc des cultures. La population pakistanaise locale préfère la «colonie ethnique» à l’intégration. Les blancs fuient le centre-ville, accentuant la ségrégation. Les groupes autoritaristes islamiques s’épanouissent, et les blancs votent pour l’extrême droite. – Dr Alan Carling
Ce qui étonne dans le rapport du Dr Carling, c’est le caractère superficiel de l’analyse des causes des problèmes observés et la croyance naïve que des politiques plus soutenues de « dialogue » pourront changer quoi que ce soit au phénomène d’auto-ségrégation observé chez les musulmans, et à l’exode des blancs. Les autorités britanniques, comme partout en Occident d’ailleurs, ont une tendance pathologique à fuir la réalité et à se mettre la tête dans le sable.
L’auto-ségrégation est une tendance naturelle chez les musulmans parce qu’ils se voient comme une «communauté supérieure», ils forment un genre humain à part, une haute caste, et déshumanisent les non musulmans qu’ils essaient évidemment d’éviter sauf si c’est dans leur intérêt. C’est l’attitude que leur dicte le coran.
Partout dans le monde, les musulmans ont des relations conflictuelles avec les non musulmans, alors que les minorités non musulmanes en Occident s’intègrent harmonieusement. Voici les raisons:
– l’islam est une idéologie arabe colonialiste et impériale engagée dans un combat cosmique pour conquérir la planète. Les djihadistes divisent le monde en deux – le monde islamique et le monde non islamique – Hossain Salahuddin
– l’islam hait la puissance de l’individu, l’islam hait la liberté religieuse des autres, l’islam déteste l’héritage des autres nations, l’islam est contre le libre arbitre, la démocratie, la liberté et la justice pour tous. L’islam aime simplement vous écraser et vous dévorer vivant. C’est ce que l’islam fait, et c’est ce que l’Islam est – Amil Imani
– on a demandé à des non-musulmans de ne pas se joindre à leurs parents musulmans qui prient pour leurs morts, des musulmans appellent leurs amis non musulmans « moralement sales » et refusent de recevoir de la nourriture d’une famille de non musulmans. Des phrases comme: « Les pieds d’un musulman sont plus propres que la tête d’un non-musulman », parlent d’elles-mêmes. – Ali
– L’islam ne s’assimile jamais. Il tue, soumet et domine. Le dualisme est le fondement et la clé de la compréhension de l’islam. Le terme « être humain » n’a pas de sens dans l’islam. Seule compte la dualité «croyant» et « infidèle ». Ce dualisme éthique qui déshumanise les infidèles forme la base du djihad. Ce que l’islam a de plus proche d’un principe éthique universel est que le monde entier doit se soumettre à l’islam. – Dr Bill Warner
– «J’ai dû prendre acte que, au delà (…) du phénomène des extrémistes et du terrorisme islamique au niveau mondial, la racine du mal est inhérente à un islam physiologiquement violent et historiquement conflictuel» – Magdi Allam
– Les données sur l’expulsion des non-musulmans de toute région à majorité musulmane d’Asie du sud démontrent que les musulmans ne croient pas en la coexistence. Avec près de la moitié de la population musulmane du monde entier en Asie du Sud, cette accablante conclusion ne pourrait pas être mise de côté comme une anomalie. Les implications de cette analyse pour les régions et les nations dont la population musulmane s’accroît rapidement et se radicalise ne peuvent pas être sous-estimées. – Moorthy Muthuswamy
EXCLUSIF: Un récent rapport avertit qu’une ville du Yorkshire risque de devenir une ligne de front dans l’affrontement mondial entre l’Occident et l’Islam.
Bradford a glissé dans un vide politique où le débat sur la cohésion de la communauté est étouffé, ce qui permet «au fascisme et à l’islamisme» de prospérer, selon l’universitaire Dr Alan Carling.
Il dit que la ville est en danger de devenir «un patchwork de fiefs ethniques rivaux» qui en fait une «ligne de fracture» dans le choc des cultures.
L’ancien président du groupe sur le Programme de l’Université de Bradford pour une Ville pacifique dit que les hommes politiques, les universitaires et les organismes de bienfaisance qui gardent le silence risquent d’aider les groupes extrémistes à diviser la ville.
Selon Dr Carling, si les divisions sont confrontées maintenant, Bradford pourrait devenir un exemple mondial sur la manière dont deux cultures peuvent coexister.
Dr Carling écrit dans le numéro de mars de la revue Urban Spaces : «Dans le monde post-9/11, Bradford ressemble à l’une des lignes de fracture dans un prétendu affrontement mondial entre «Islam» et «Occident»».
«L’ampleur et la nature des défis auxquels est confronté le quartier en font l’un des principaux centres d’intérêt en Grande-Bretagne, et peut-être en Europe, dans lequel les relations entre les populations musulmanes et non musulmanes en Occident sont susceptibles d’être élaborées dans l’avenir, pour le meilleur ou pour le pire».
Il a dit que la «fuite des blancs» des quartiers du centre-ville de Bradford montre clairement une augmentation de la ségrégation dans la ville depuis 1991. L’analyse statistique montre que près de 75% des musulmans auraient maintenant besoin de se déplacer vers les quartiers blancs pour que chaque quartier ait une répartition équitable des communautés ethniques.
Alors qu’en 2001, 20,5% des résidents de la ville étaient musulmans, la Bradford Health Academy prévoit que ce chiffre passera à 28% d’ici 2011. Une étude récente menée par l’Université de Leeds montre que la proportion des minorités atteindra 38,2% en 2030, dont 31,9% de l’Asie du Sud (musulmans du Pakistan, Bangladesh, etc. – PdB).
«Il serait grandement étonnant qu’un changement culturel de cette ampleur potentielle ait lieu sans quelques frictions et des difficultés d’ajustement», a déclaré le Dr Carling.
Il croit que la domination des musulmans pakistanais de la ville a signifié qu’au lieu de devenir une communauté multiculturelle, comme à Londres où aucune minorité ne domine, Bradford est devenu bi-culturelle.
En raison du désir de la population pakistanaise de créer des «colonies ethniques», a-t-il dit, le meilleur espoir pour Bradford à long terme serait l’accommodement plutôt que l’intégration.
Mais il a dit que la «vérité désagréable» est que jusqu’à 18 000 citoyens de Bradford ont voté pour le BNP – «ils ont choisi ces dernières années de franchir la ligne de ce qui a défini les limites de la politique honorable depuis la défaite des Nazis il y a 60 ans».
De même, la popularité des groupes du djihad islamique dans la ville a pour effet d’accroître la polarisation.
«La présence de ces groupes autoritaires est une source spéciale de dangers dans des endroits comme Bradford», a déclaré le Dr Carling. «Leurs messages sont susceptibles de trouver une résonance dans les attitudes et les conditions sociales. De plus, il existe un danger particulier que ces deux courants politiques se nourrissent l’un l’autre».
Il a déclaré que même s’il y a de nombreuses organisations caritatives, des individus et des organismes engagés dans la lutte contre la polarisation à Bradford, il y a un souci qu’ils n’opèrent pas encore à une échelle suffisante ou avec suffisamment de soutien du public en général.
Le Dr Carling a déclaré: «Un vide politique existe, où le débat public à Bradford devrait porter sur la réalisation d’un avenir partagé. Nous avons plus à gagner à ouvrir les débats sur ces questions qu’à les fermer».
«Les risques liés à la prise de parole sont compensées par les dangers du silence, parce que le principal effet du silence est d’apporter aide et réconfort aux courants extrémistes».
Hier soir, le leader du Conseil de Bradford, Kris Hopkins, a déclaré: «Il n’y a pas de vide politique sur la question de la cohésion de la communauté.»
«C’est une question fondamentale pour le Conseil et ses partenaires, et la preuve en sera faite très clairement dans la nouvelle stratégie communautaire durable pour la région et les mesures prises par le conseil et ses partenaires dans la mise des questions de cohésion au centre des débats».
Principaux constats du rapport :
• Bradford est dans un vide politique où le débat sur la cohésion de la communauté est étouffé;
• Le silence risque d’aider les groupes extrémistes à diviser la ville;
• 75% des musulmans auraient besoin de se déplacer vers les quartiers blancs pour qu’on obtienne une égale distribution des races;
• 20,5% des habitants étaient musulmans en 2001 – passant à 28% d’ici 2011;
• 18000 citoyens de Bradford ont voté en faveur du BNP
Voir aussi:
Grande Bretagne – Les britanniques émigrent en nombre record
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