Les incursions que font les musulmans dans le monde occidental sont accomplies pouce par pouce; il est donc difficile pour les Occidentaux de pleinement comprendre ce changement et de reconnaître la lente érosion de tout ce que nous chérissons dans une société libre. Comprendre le dualisme de l’éthique islamique et le recours délibéré à la tromperie est essentiel.
Traduction de: While the world ignores the threat, Islam is taking over, par Vincent Gioia, MichNews.com, le 11 février 2008
Les incursions que font les musulmans dans le monde occidental sont accomplies pouce par pouce; il est donc difficile pour les Occidentaux de pleinement comprendre ce changement et de reconnaître la lente érosion de tout ce que nous chérissons dans une société libre.
Les musulmans ont recours de manière intelligente à la rectitude politique pour accuser toute moquerie ou critique de l’islam de «racisme» (rappelez-vous les caricatures danoises), y compris le besoin évident d’un examen critique des personnes de pays musulmans entrant aux États-Unis ainsi que celles de la catégorie présentant la menace potentielle la plus élevée qui empruntent les systèmes de transport. (Il est banal de le dire, mais une vieille dame de Winnetka n’est pas aussi susceptible de faire peser une menace terroriste potentielle que l’imam barbu d’une mosquée qui prêche que l’islam doit conquérir le monde.)
Les musulmans ont renforcé leurs muscles dans le secteur bancaire ainsi que le monde industriel en utilisant des pétrodollars perçus depuis la découverte accidentelle de pétrole sous les bouses de chameau au Moyen-Orient.
Dr. Steven Watts, Senior Research Fellow à l’Institut mondial pour l’étude de la culture, de l’économie et la gestion des ressources stratégiques à l’Université de Pepperdine est l’une des nombreuses personnes faisant la tournée de l’Amérique. Le Koweït, Dubaï, les Émirats arabes unis et le Qatar utilisent divers agents pour adoucir les «kafirs» au sujet de la charia bancaire. Pour ceux qui ne connaissent pas la terminologie musulmane, un «kafir» est un «infidèle» ou un «incroyant» de l’islam qui est l’unique «vraie» religion. Les kafirs absorbent la charia une bouchée à la fois et le Dr Watts est l’un de ceux qui assure son progrès. Il assure son auditoire que la charia bancaire est bonne, et même chrétienne, car elle interdit les investissements dans l’alcool et les jeux de hasard.
Dr. Watts et les apologistes de l’islam comme lui pensent qu’ils comprennent le Coran et la théologie de l’islam. Ils sont certains que le bon islam est le vrai islam et que le mauvais islam des djihadistes n’est pas le véritable islam. Watts et d’autres du même esprit «savent» que leur version du Coran est la bonne parce que certains imams se sont mis d’accord avec leur maigre lecture du Coran, mais c’est faire fi de la multitude qui prêche et pense le contraire.
Toutefois, après examen des déclarations des apologistes sur la connaissance de l’islam, il est clair qu’ils n’ont ni la connaissance de la «Sira» (La biographie de Mahomet), ni des «hadith» (les traditions de Mahomet). À les entendre, l’islam est le Coran et l’islam n’a rien à voir avec Mahomet. Même si quelqu’un comme Watts peut enseigner la charia bancaire, il ne sait pas grand-chose sur la «charia». (La Charia comprend l’assujettissement des «kafirs» et des femmes.)
Dr. Watts connaît quelques «bons» versets du Coran qui s’accordent avec son point de vue mais il ignore le reste du Coran qui contredit les «bonnes» choses. Watts ignore également le principe islamique de l’«abrogation» par lequel des versets coraniques ultérieurs qui contredisent les précédents ont préséance. Par exemple, des versets violents dans le Coran qui surviennent au cours du temps de Mahomet à Médine se substituent aux versets «modérés» de la période de la vie de Mahomet à La Mecque.
Pour rationaliser cette incongruité, certains musulmans disent que dans l’islam, lorsqu’il y a deux idées contradictoires, les deux sont vraies. Pour eux, et pour la plupart des musulmans, le Coran est construit sur la logique de la vérité par la contradiction. Donc, quand les versets du djihad contredisent les versets de paix, les deux sont corrects. Pourquoi? Tous deux sont venus d’Allah. Par définition, Allah n’a jamais tort, alors les deux côtés de la contradiction sont vrais. Les esprits occidentaux sont tout simplement incapables de comprendre cette «logique».
L’islam étend la branche d’olivier d’une main et l’épée pour le tronçonnage et la décapitation de l’autre main. Les apologistes de l’islam veulent que nous nous concentrions sur la branche d’olivier et aimeraient nous faire oublier l’épée du djihadiste. Aussi difficile que cela puisse être pour nous kafirs de croire, les musulmans pensent que le Coran enseigne la paix par le djihad. D’une part cela fait une sorte de bon sens, si vous tuez tous vos ennemis, vous aurez la paix. Les Occidentaux ne sont pas prêts à adopter la même ligne d’action, et par conséquent, ils souffrent d’un désavantage fatal.
Le monde en est témoin presque tous les jours, des dirigeants arabes disent une chose aux Occidentaux et exactement l’opposé à leurs coreligionnaires musulmans. Il est difficile pour la plupart d’entre nous de comprendre l’éthique islamique dualiste. Ils peuvent dire une chose, par exemple des négociations de «paix» avec les Israéliens, et l’opposé aux djihadistes. Mahomet a encouragé la tromperie des kafirs et le Coran fait écho à ces sentiments. Mais pour les apologistes de l’islam, l’islam est seulement une religion et un chef religieux islamique ne saurait jamais nous mentir. Ils ne voient pas que l’islam politique n’a pas de signification honorable, et ils n’ont pas de compréhension de la dualité de l’islam politique/religieux.
Dieu nous vienne en aide.
Vincent Gioia est une avocate retraitée vivant à Palm Desert, en Californie. Ses articles peuvent être lus à www.vincentgioia.com et elle peut être contactée à gioia@gte.net
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