Nous racontons l’histoire de Nathalie Morin ici: Séquestrée en Arabie saoudite par son mari violent, une Québécoise veut rentrer. Nous y affichons notamment les mises en garde adressées par le Ministère canadien des affaires étrangères aux femmes qui voyagent en Arabie saoudite.
Conseil aux Québécoises: Ce n’est pas du racisme ni de l’islamophobie que d’être sur vos gardes vis-à-vis des hommes de culture musulmane, même ceux qui viennent de pays modernes comme Dubai. Les médias politiquement corrects donnent toujours un portrait rose bonbon… et pourtant!
Si Nathalie Morin est rapatriée, souhaitons que son mari, lui, restera en Arabie saoudite. Nous n’avons rien à gagner, comme société, à faire des efforts pour rapatrier Nathalie si le prix à payer est l’importation chez nous de ce genre d’individu, et, qui sait, du reste de sa famille, en vertu du programme de réunification familiale.
L’affaire Nathalie Morin est le genre de dossier où la Fédération canado-arabe aurait pu se rendre utile. Mais bon, il faut croire qu’ils sont trop occupés à faire du lobbying auprès de nos parlementaires, sans doute pour lutter contre les terribles exactions dont les musulmanes sont quotidiennement victimes aux mains des Canadiens infidèles et racistes.
Où sont nos nombreux islamistes membres de la Ligue islamique mondiale basée à La Mecque quand on a besoin d’eux? N’ont-ils pas des contacts avec l’Arabie saoudite qu’ils pourraient mettre à profit, ce qui serait sans doute plus utile qu’une poursuite contre le gouvernement canadien?
Que fait Samira Laouni? Que fait Thomas Mulcair, lui qui a beaucoup d’amis dans les milieux islamistes? Que fait le multi-millionnaire Maher Arar, que fait la femme de Maher Arar? Que fait CAIR-CAN?
Nous éprouvons beaucoup de sympathie pour Nathalie, et louons le courage et la détermination de sa mère.
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MONTREAL — La mère de Nathalie Morin menace d’intenter une poursuite contre le gouvernement canadien pour le contraindre à aider sa fille à sortir d’Arabie saoudite avec ses trois enfants. Son avocat, Me Julius Grey, vient d’adresser une mise en demeure à ce sujet au gouvernement canadien.
Dans le cadre d’une conférence de presse, mardi à Montréal, Mme Johanne Durocher a aussi fait entendre un message de détresse de sa fille qu’elle a enregistrée au téléphone.
Trois députés fédéraux l’épaulent dans sa cause: Francine Lalonde du Bloc québécois, Bernard Patry du Parti libéral et Thomas Mulcair du Nouveau parti démocratique, qui étaient tous présents.
Mme Morin a aujourd’hui 24 ans, a trois enfants et ne peut quitter l’Arabie saoudite sans l’autorisation de Saïd, son mari.
Mme Durocher affirme que sa fille et ses trois enfants sont privés de nourriture, mal traités, voire battue dans le cas de sa fille.
Elle reproche à l’ambassade canadienne de n’avoir pas assez fait pour profiter des occasions pour faire sortir sa fille du pays avec ses enfants, notamment lorsque son mari semblait ouvert à la laisser partir pour des vacances au Canada.
Mme Durocher se dit prête à poursuivre le gouvernement canadien pour le contraindre à se porter à la défense des droits fondamentaux de sa fille.
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